La France a une nouvelle fois opposé une fin de non-recevoir jeudi aux demandes de plusieurs ONG qui réclament une suspension de ses ventes et livraisons d'armes à l'Arabie saoudite en raison de son rôle dans le conflit au Yémen, assurant que ces contrats faisaient l'objet d'un contrôle très strict.
"Il y a un contrôle très strict des exportations d'armement (...) qui obéit à des critères tout à fait précis, y compris le souci des situations où des populations civiles peuvent être mises en danger", a-t-on souligné à l'Elysée à quelques jours de la visite en France du prince héritier saoudien Mohammed ben Salman...