Vincent Crase, un deuxième collaborateur de l'Elysée visé dans l'affaire Benalla
Par Alexandre Boudet
Huffington Post
Bruno Roger-Petit a annoncé qu’il ne travaillera plus avec Emmanuel Macron.
C’est le porte-parole de l’Elysée qui a annoncé sa présence le 1er mai et les conséquences pour lui. Alexandre Benalla n’était pas le seul membre de l’entourage d’Emmanuel Macron présent avec les policiers dans la manifestation. Bruno Roger-Petit a fait savoir que Vincent Crase était également sur place.
Il s’agit d’un réserviste de la gendarmerie, employé de La République en marche qui était, selon le porte-parole "très ponctuellement mobilisé comme d’autres réservistes par le commandement militaire de l’Elysée" pour des missions proches de la sécurité. "Ayant outrepassé son autorisation, il a reçu une sanction de 15 jours avec suspension de salaire et il a été mis fin à toute collaboration entre lui et la présidence de la République", a précisé Bruno Roger-Petit...
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