Depuis qu’ils ont rencontré le Emmanuel Macron en tête à tête au Caire à l’occasion de son voyage officiel, quatre défenseurs des droits humains égyptiens font l’objet d'une plainte pour « offense à l’État égyptien », « atteinte à la sûreté de l’État » et « menace à la sécurité nationale et aux intérêts du pays ».
Les représailles n’ont pas tardé. Quatre défenseurs des droits humains égyptiens, qui ont rencontré en tête à tête Emmanuel Macron mardi 29 janvier lors de son voyage officiel au Caire, ont appris par la presse qu'ils étaient sous le coup d’une plainte pour « offense à l’État égyptien », « atteinte à la sûreté de l’État », ainsi que « menace à la sécurité nationale » et « aux grands intérêts du pays »...