Vacciner les enfants contre la Covid est un crime contre l'humanité (Conservative Woman)

MAJ en date du 9.05.21 : Nous pubions finalement une traduction de l'intégrale de l'article de George Cooper paru dans Conservative Woman publié le 4.05.21. Voir plus bas.

"Administrer un nouveau vaccin, développé avec une nouvelle technologie, à une génération entière de nos enfants pour une maladie pour laquelle ils n'ont besoin d'aucun traitement et sans connaître ses effets secondaires à plus long terme est inadmissible", écrit George Cooper pour Conservative Woman dans un article intitulé “Vaccinating children is a crime against humanity”(""Vacciner les enfants est un crime contre l'humanité").

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La vaccination des enfants (contre la Covid) est un crime contre l'humanité
Article originel : Vaccinating children is a crime against humanity
Par George Cooper
The Conservative Woman, 4.05.21

IL EST de notre devoir moral de faire passer le bien-être de nos enfants avant le nôtre et certainement avant celui de nos parents. C'est une partie inaliénable de ce que signifie être humain : ce n'est rien de moins qu'une condition préalable à la survie.

Dans notre réponse au virus de la Covid-19, nous avons inversé ce devoir ; nous avons fait passer le bien-être de nos parents avant celui de nos enfants. Nous avons emprisonné les jeunes et les personnes en bonne santé, nous leur avons refusé la possibilité d'apprendre et de gagner leur vie, de se socialiser et de mener une vie normale. Nous avons fait cela soi-disant pour prolonger la vie des personnes âgées et fragiles, celles à qui il reste peu de temps. Qu'avons-nous obtenu de ce marché ?

Il est loin d'être évident que les mesures de confinement aient changé le cours de la pandémie de la Covid-19 de manière significative. Pendant ce temps, les personnes âgées et fragiles, celles que le confinement visait à protéger, ont été contraintes de passer le peu de temps qui leur reste à supporter des demi-vies, isolées de leurs amis et de leurs familles. Avons-nous demandé à nos parents si c'est un prix qu'ils souhaitent payer ? Avons-nous demandé à nos parents s'ils veulent que ces précieuses années d'enfance irremplaçables soient volées à leurs petits-enfants, juste pour qu'ils puissent se recroqueviller, seuls et solitaires, à la fin de leur vie ? Nous ne l'avons pas fait, et je sais, pour ma part, que c'est un marché que mes parents ne soutiennent pas.

Ce qui est pire, bien pire, c'est que nous sommes maintenant sur le point de soumettre nos enfants à un programme de vaccination de masse avec un nouveau vaccin qui n'a pas encore terminé ses essais cliniques et qui a été développé, dans l'urgence, en utilisant une nouvelle technologie expérimentale.

Nous savons que les jeunes en bonne santé sont immunisés contre le virus contre la Covid-19 ou s'en débarrassent rapidement. Leur système immunitaire naturel les protège. Nous savons également que ces nouveaux vaccins peuvent avoir des effets secondaires dévastateurs presque immédiats, pouvant même mettre fin à la vie d'au moins un petit nombre de jeunes gens. Il est important de noter que nous ne savons pas quels sont les effets secondaires à long terme de ces nouveaux vaccins. Nous ne pouvons pas le savoir car ils sont nouveaux et n'ont pas encore été entièrement testés.

Il est inadmissible d'administrer à une génération entière de nos enfants un nouveau vaccin, développé à l'aide de nouvelles technologies, pour une maladie pour laquelle ils n'ont besoin d'aucun traitement et sans connaître ses effets secondaires à long terme. Un programme de vaccination de masse de nos enfants, à l'heure actuelle, avec ces nouveaux vaccins, expose nos enfants à un risque non quantifiable et inutile. Prendre un tel risque avec la santé d'une génération entière de la société est un crime contre nos enfants, et un crime contre nos enfants n'est rien de moins qu'un crime contre l'humanité.

Nous sommes à quelques semaines de réaliser l'expérience médicale la plus risquée de toute l'histoire. Qui plus est, cette expérience est, par sa propre logique, inutile. Si les vaccins sont efficaces, comme on le prétend, il suffit de vacciner ceux qui sont vulnérables à la maladie. Cela a déjà été fait.

Pour les jeunes et les personnes en bonne santé, il est préférable de laisser à leur système immunitaire la possibilité de développer leurs propres protections contre la maladie. Ces diverses réponses contribueront à protéger la société contre l'évolution inévitable de nouveaux virus à l'avenir.

Comme ceux qui ont besoin d'être protégés contre la Covid-19 le sont déjà, nous avons maintenant le temps d'achever calmement la science et de terminer les essais cliniques de ces nouveaux vaccins. Ce n'est qu'une fois que les vaccins auront été évalués comme sûrs, à court et à long terme, efficaces et nécessaires, que nous pourrons envisager une vaccination de masse de nos enfants. Cette évaluation doit être faite, et perçue comme telle, selon les normes scientifiques les plus élevées. Elle ne peut se faire sans un examen ouvert des données et un débat solide sur leur interprétation.

La science est le processus de remise en question des idées reçues. Cela ne peut se faire que dans une société qui tolère un débat vigoureux et une dissidence ouverte. Nous ne pouvons pas suivre la science, sur la Covid-19 ou sur toute autre question, si nous ne tolérons pas, n'écoutons pas et n'apprenons pas de ceux avec qui nous sommes en désaccord. Au cours de la dernière année, il est devenu de plus en plus difficile de s'opposer ouvertement à la voie choisie par le gouvernement pour faire face au virus Covid-19. Il est temps de réclamer nos droits à la liberté d'expression, au débat ouvert et, oui, parfois, le droit d'offenser l'opinion des autres.

Nous ferons des erreurs si ceux qui doutent de la sagesse d'une ligne de conduite ne sont pas encouragés à s'exprimer. Aujourd'hui, ceux qui doutent de la sagesse d'inoculer à nos enfants ces nouveaux vaccins expérimentaux sont découragés de s'exprimer. Lorsque la liberté d'expression s'arrête, de grandes erreurs s'ensuivent.

Traduction SLT

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