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Des personnes souffrant de troubles mentaux et de difficultés d'apprentissage ont été considérées par les médecins comme ne devant pas être sauvées si leur coeur s'arrêtait (The Telegraph)

par The Telegraph 10 Juin 2021, 19:54 Troubles mentaux Coronavirus Eugénisme Allégations Hôpital Grande-Bretagne Articles de Sam La Touch

Des personnes souffrant de troubles mentaux et de difficultés d'apprentissage ont été considérées par les médecins comme ne devant pas être sauvées si leur coeur s'arrêtait
Article originel : People with mental illness and learning disabilities given ‘do not resuscitate’ orders during pandemic
The Telegraph, 9.06.21

Des personnes souffrant de troubles mentaux et de difficultés d'apprentissage ont été considérés par les médecins comme ne devant pas être sauvés si leur coeur d'arrêtait

Une enquête du Telegraph révèle que les médecins ont décidé que les patients atteints de ces pathologies ne devaient pas être sauvés si leur cœur s'arrêtait.

Sally-Rose et sa mère Dulceta Cyrille, tenant une photo de leur défunte sœur et fille Sonia, qui avait reçu une ordonnance DNAR (NPR : Ne pas réanimer).

Des patients souffrant de maladies mentales et de troubles de l'apprentissage ont reçu l'ordre de ne pas être réanimés pendant la pandémie, a révélé le Telegraph.

Des familles, des soignants et des médecins ont déclaré que les médecins avaient décidé que les patients atteints de ces maladies ne devaient pas être réanimés si leur cœur s'arrêtait - une décision qui, dans un cas, semble avoir entraîné la mort du patient.

Les organisations caritatives ont déclaré qu'elles étaient au courant de multiples cas où des décisions de DNAR avaient été données de manière "inappropriée" à des personnes, une organisation ayant déclaré en avoir vu 20 en un mois.

En mars 2020, NHS England a écrit aux médecins pour leur rappeler les directives de l'année précédente, selon lesquelles le terme "trouble d'apprentissage ... ne devrait jamais être une raison pour émettre un ordre DNAR ou être utilisé pour décrire la cause sous-jacente, ou unique, du décès".

Cependant, The Telegraph a trouvé des preuves que cette condition apparaissait sur les DNAR après l'envoi de la lettre.

Une famille a déclaré au Telegraph que leur sœur - qui se trouvait dans une maison de soins en raison d'un trouble de l'apprentissage et d'une schizophrénie - avait reçu un DNAR dans lequel les raisons de la décision étaient inscrites comme ces conditions à la fin du mois d'avril.

La femme, Sonia Deleon, 58 ans, est ensuite décédée d'une crise cardiaque à l'hôpital de Southend et n'a pas été réanimée en raison de la décision d'un médecin.

Un porte-parole du Trust a déclaré que les raisons données sur le formulaire étaient "une erreur" et que des documents antérieurs où des questions telles que la "fragilité" et les "comorbidités multiples" étaient données avaient été utilisés pour ses soins.

La famille de Mme Deleon a déclaré que, selon elle, les mots utilisés dans la documentation montrent comment leur sœur a été "rayée de la carte" en raison de son état de santé, en raison de suppositions sur la qualité de vie...

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Traduction SLT

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- Rapport de l'IRSEM de novembre 2018. Comment l'armée française considère le blog de SLT et ...les autres

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