Selon le Jt de France 2 de 20h (11'00'' sur la vidéo) en date du 3.06.21, Macron a appelé à une vaccination massive les enfants de plus de 12 ans à partir du 15 juin, sans même attendre les recommandations de l'HAS (Haute Autorité de Santé). En effet, l'HAS préconise de prioriser la vaccination des plus de 12 ans qui ont des comorbidités les exposant aux formes graves de la Covid (immunosuppression, obésité....). Enfin, l'HAS préconise de passer à la vaccination de tous les adolescents "dès lors que la campagne vaccinale de la population adulte sera suffisamment avancée" ce qui est loin d'être le cas en France actuellement. Qu'est-ce qui fait courir Macron ? A-t-il calqué son agenda sur celui de Big Pharma tandis que de plus en plus de médecins s'inquiètent des effets d'une vaccination massive des enfants dont on sait qu'ils ont un risque quasi nul de Covid grave ? Le ministère israélien de la santé a fait état de myocardite après vaccination contre la Covid à une fréquence de "1 sur 41 730" chez les plus de 16 ans selon le Jerusalem Post - souligné par le Dr Ros Jones (dans son article dans Conservative Woman, voir plus bas et paragraphe surligné en caractère gras) - ce qui est loin d'être négligeable. Etant donné que la vaccination des 12-15 ans a été relativement limitée avec un recul relativement court jusqu'à maintenant, pourquoi se lancer à corps perdu dans une vaccination de masse des enfants ? Quelle mouche a bien pu piquer Macron ? Quel agenda suit-il exactement ? Est-il devenu un kamikaze de la vaccination ? Envisage-t-il que nos chères petites têtes blondes soient les nouveaux cobayes de Big Pharma dans une expérience de vaccination de masse à base de matériel génétique (ARNm ou ADN codant pour une molécule : la protéine Spike aux propriétés très controversées) comme jamais auparavant ? Selon certains médecins chercheurs, La protéine de pointe de la COVID-19 et des vaccins à ARNm ou ADN contre la Covid "pourrait être un agent pathogène endothélial toxique potentiellement dangereux". L'Institut allemand Paul Ehrlich avait déjà signalé ces problèmes dès la mi-février tandis que le Dr Wodarg posait ouvertement la question du risque de thrombose avec les vaccins à matériel génétique codant pour la protéine Spike, avant même que des pays du nord de l'Europe rapportent deux semaines plus tard des cas de thromboses avec certains vaccins. Tout récemment, le Professeur Bryam Bridle de l'Université de Guelph (professeur associé d'immunologie virale), virologue de renommée mondiale, a déclaré : "Nous avons fait une grosse erreur, nous ne l'avions pas réalisé jusqu'à présent, nous pensions que la protéine spike était un excellent antigène cible, mais nous ne savions pas que la protéine spike elle-même était une toxine potentielle. En vaccinant les gens, nous leur inoculons par inadvertance une toxine".
Les médias de masse vont-ils faire le job comme ils l'ont si bien fait pour les adultes ?
Lire aussi :
- Dr Ros Jones : Pourquoi Boris Johnson doit mettre fin à ce dangereux programme de vaccination des enfants (Conservative Woman)
...Il y a deux semaines, 40 médecins britanniques ont écrit à la Medicines and Healthcare products Regulatory Agency (MHRA) et au Joint Committee on Vaccination and Immunisation (JCVI) pour demander l'arrêt de toute proposition visant à élargir l'autorisation d'urgence temporaire pour les vaccins contre la COVID-19 aux enfants en raison de problèmes de sécurité majeurs. Nous apprenons maintenant qu'il s'agit d'une question d'éthique tellement complexe que le JCVI va en transférer la responsabilité au Premier ministre. L'ensemble de la gestion de la pandémie a été politisé au détriment d'un débat scientifique et éthique ouvert et il est totalement inapproprié que la santé des enfants devienne un ballon politique potentiel. L'urgence d'un tel débat a été renforcée par l'approbation, d'abord en Amérique du Nord et maintenant en Europe, de la vaccination des jeunes de 12 à 17 ans, et la demande de Pfizer est actuellement déposée auprès de la MHRA. Quelle est donc la base médicale, éthique et juridique d'une telle démarche ?
Les arguments médicaux en faveur des enfants
Les enfants sont heureusement exposés à un risque incroyablement faible de contracter la COVID-19, la grande majorité d'entre eux présentant des symptômes légers ou nuls, peu d'hospitalisations et encore moins de cas nécessitant des soins intensifs. Neuf décès associés au Covid ont été enregistrés chez des enfants de moins de 15 ans en 2020. Tous ces décès étaient liés à des pathologies antérieures limitant le pronostic vital et représentaient 0,3 % des décès toutes causes confondues dans cette tranche d'âge. Tout adolescent présentant un risque extrêmement élevé peut déjà recevoir un vaccin et cela ne devrait pas influencer la politique pour tout un groupe d'âge. La longévité a également été évoquée comme une préoccupation, mais chez les enfants, elle est plus légère et de plus courte durée que chez les adultes, des études faisant état d'une récupération complète.
Sécurité
Si la maladie est extrêmement bénigne chez les enfants, qu'en est-il des effets indésirables potentiels de la vaccination ? Tragiquement, ces dernières semaines, des rapports ont fait état d'une thrombocytopénie thrombotique (TIV), une affection extrêmement rare, survenue chez un nombre important de jeunes adultes après la vaccination, avec des accidents vasculaires cérébraux, parfois mortels. La TIV n'a été détectée dans aucun des essais, mais la MHRA estime désormais que l'incidence de la vaccination par AstraZeneca est de 1 sur 77 000, déclarant que "les données montrent que le taux d'incidence rapporté est plus élevé chez les jeunes adultes que chez les adultes plus âgés". Les médecins qui conseillent un individu sur les avantages et les risques sont laissés à l'appréciation de ce taux, mais le vaccin d'AstraZeneca a été retiré pour les moins de 30 ans et, plus tard, pour les moins de 40 ans, et l'essai d'Oxford sur les enfants a été suspendu. Pfizer semble avoir des problèmes thrombotiques similaires, mais peut-être à un taux plus faible, et il s'agit probablement d'un effet de classe impliquant la protéine spike. En ce qui concerne Pfizer, le ministère israélien de la Santé a confirmé que la myocardite se produit à un taux de 1 sur 41 730 pour la deuxième dose chez les jeunes hommes âgés de 16 à 30 ans, mais le taux le plus élevé est enregistré chez les 16-19 ans. Il ne s'agit pas d'effets secondaires insignifiants : ils sont potentiellement mortels ou peuvent changer le cours de la vie et semblent se produire à un taux supérieur à celui des conséquences graves des infections infantiles à la Covid. Et ce, sans tenir compte des effets indésirables à long terme encore inconnus et en gardant à l'esprit que seuls 1 134 enfants ont participé aux essais vaccinaux lors des essais de Pfizer. Conformément au principe "First do no harm" ("En premier ne pas nuire"), la vaccination systématique des enfants contre la COVID-19 est contre-indiquée...
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- Rapport de l'IRSEM de novembre 2018. Comment l'armée française considère le blog de SLT et ...les autres