"Je crois que le vrai but des masques est le contrôle social" écrit Graham Brady... (Daily Mail)

Je crois que le vrai but des masques est le contrôle social - il est temps d'arrêter l'instrumentalisation de la peur, écrit GRAHAM BRADY, Président du Comité Tory 1922
Article originel : I  believe the real purpose of masks is social control - it's time to turn down the fear dial, writes GRAHAM BRADY, Chairman of the Tory 1922 Committee
DAily Mail

Le 23 août 1973, une tentative de raid bancaire sur la place Norrmalmstorg de Stockholm a mal tourné.

Quatre otages ont été pris et le drame s’est terminé seulement cinq jours plus tard lorsque les gaz lacrymogènes ont forcé les voleurs à se rendre.

Le hold-up aurait sans doute été oublié sans la réaction étrange des otages, qui ont formé un lien étroit avec leurs geôliers.

Et ce sont les événements de ces quelques jours qui ont donné leur nom à quelque chose maintenant communément appelé syndrome de Stockholm.

Ce phénomène a souvent été identifié depuis un demi-siècle.

Mais il a été remarquable de le voir exposé par des pans entiers du public britannique au cours de la dernière année.

Après 16 mois où l’État nous a dit quand nous pouvions quitter nos maisons, si nous pouvions voir nos familles, avec qui nous pouvions avoir des relations sexuelles, ou quels types de sports nous étions autorisés à pratiquer, beaucoup d’entre nous sont désireux de retrouver la dignité humaine qui vient avec l’exercice de notre propre libre arbitre.

D’autres réagissent différemment.

Lorsqu’on leur dit que leur double vaccination leur offre une protection substantielle contre les maladies graves, les gens s'inquiètent du fait que les vaccins puissent fonctionner aujourd’hui, mais que cela ne soit pas forcément le cas le mois prochain ou l’année prochaine?

Et si une nouvelle variante pouvait échapper aux vaccins ?

Depuis de nombreux mois, les données montrent que les foyers de soins, les hôpitaux et les foyers privés sont les endroits les plus susceptibles d’être touchés par la COVID-19, mais les sondages d’opinion révèlent un fantasme généralisé selon lequel les dangers réels proviennent des voyages internationaux, des pubs et des restaurants.

Les restrictions les moins rationnelles du gouvernement ont bien sûr joué contre ces préjugés non fondés.

La fermeture des restaurants protégés contre la COVID-19 l’automne dernier est survenue peu après que les conseillers de Sage eurent publié un avis selon lequel il serait peu probable que cela fasse une grande différence.

De même, faire sauter des gens à travers des cerceaux sans fin et prendre de multiples tests coûteux s’ils veulent voler vers un pays sûr et ensoleillé pendant une semaine ou deux doit faire en sorte que ceux qui n’étudient pas les preuves croient que d’aller à Majorque est une entreprise assez risquée.

Le problème avec le syndrome de Stockholm, c’est que plus les gens sont soumis à un contrôle, plus ils deviennent dépendants.

La ligne entre la coercition et les soins devient floue, l’otage commence à voir l’homme avec l’AK-47 qui le retient dans une cellule non pas comme un geôlier mais comme un protecteur.

Depuis 16 mois, la population britannique est soumise non seulement à un contrôle minutieux, mais à un menu de restrictions en constante évolution.

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Traduction SLT

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