Ceux qui ont mis la panique dans la pandémie de la Covid doivent s'excuser pour les erreurs qui ont gâché la vie de millions de personnes (The Sun)

Ceux qui ont mis la panique dans la pandémie de la Covid doivent s'excuser pour les erreurs qui ont gâché la vie de millions de personnes.
Article originel : Those who put the panic in Covid pandemic must apologise for the cock-ups which blighted the lives of millions
Par Trevor Kavanagh
The Sun, 6.08.21

Dans une lettre publiée dans la revue médicale The Lancet le mois dernier, pas moins de 1 200 scientifiques ont averti que la décision de Boris Johnson de lever la plupart des dernières restrictions sur la Covid en Angleterre était si dangereuse qu'elle représentait une menace pour le monde entier.
 

Des experts se sont exprimés sur la BBC pour prévenir qu'il pourrait y avoir 200 000 cas par jour, et que le NHS serait débordé. On nous a dit de nous préparer au désastre. Alors que Boris Johnson a décidé de lever les restrictions, les experts ont prévenu qu'il pourrait y avoir 200 000 cas par jour, mais la réalité est que la troisième vague est déjà en recul.


Alors que Boris Johnson a décidé de lever les restrictions, les experts ont prévenu qu'il pourrait y avoir 200 000 cas par jour, mais la réalité est que la troisième vague est déjà en recul.

La réalité ? L'étude ZOE Covid suggère que la troisième vague est déjà en recul, et que ce nombre de cas n'a jamais été atteint - et, depuis hier, le taux crucial de R n'est plus que de 0,8.

Ce n'est pas la première fois que les prophètes de malheur ont eu tort, mais seulement après avoir terrifié inutilement le public.

Qui a donc mis la "panique" dans la "pandémie" ?

Des millions de personnes souffrant de maladies potentiellement mortelles ont été mises en danger afin de bloquer ce virus inarrêtable.

Une génération de jeunes a été contrainte de mettre sa vie en suspens lorsque l'âge moyen des victimes du Covid était de 83 ans, soit un an de plus que l'espérance de vie moyenne au Royaume-Uni. Et notre économie a été endommagée, dans certains domaines peut-être au-delà de toute réparation.

Nous méritons une explication et nous ne devrions pas avoir à attendre des années les résultats d'une enquête publique. Des excuses de la part de certains seraient les bienvenues. Commençons par Neil Ferguson de l'Imperial College, le "Professeur Lockdown" lui-même.

La peur au ventre

C'est Ferguson, membre du Scientific Advisory Group for Emergencies (Sage), qui a effrayé Downing Street avec ses prédictions cauchemardesques de 500 000 cadavres de la Covid, et qui a prédit ces 200 000 cas quotidiens lors de la troisième vague.

C'est Ferguson qui a effrayé les ministres pour qu'ils adoptent pour la toute première fois le confinement "innovant" de la Chine totalitaire, par crainte que le virus ne se soit échappé d'un laboratoire de Wuhan.

Il a déclaré au Times : "Nous avons dit c'est un État communiste à parti unique... Nous pensions que nous ne pourrions pas nous en sortir en Europe... et puis l'Italie l'a fait. Et nous avons réalisé que nous pouvions le faire."

L'un des camarades conseillers du gouvernement de Ferguson était le professeur Susan Michie, membre du parti communiste, spécialiste des sciences comportementales douteuses.

Pour les idéologues communistes, le rêve ultime est de détruire le capitalisme. Le confinement offre un outil parfait. Du jour au lendemain, la Grande-Bretagne a été incarcérée en vertu de lois d'urgence jamais vues en dehors de la guerre...

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Traduction SLT

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