MAJ 22.08.21 en fin d'article.
C'est la question posée dans une très sérieuse revue internationale à comité de lecture par deux chercheurs : Stéphanie Seneff et Greg Nigh.
Stéphanie Seneff est "chercheuse scientifique principale au MIT, Stephanie Seneff y est affiliée de façon continue depuis plus de cinq décennies. Après avoir obtenu quatre diplômes du MIT (B.S. en biophysique, M.S., E.E., et Ph.D. en génie électrique et informatique), elle a mené des recherches sur les réseaux à commutation de paquets, la modélisation informatique du système auditif humain, le traitement du langage naturel, les systèmes de dialogue parlé et l’apprentissage de la langue seconde. Spécialisée dans la modélisation et l’analyse du système auditif humain pour améliorer la communication entre humains et ordinateurs, elle fait des recherches et publie également sur des sujets liés à la biologie et à la médecine".
Greg Nigh est oncologue naturopathe. Il est diplômé du National College of Natural Medicine, où il a suivi simultanément le programme de docteur en naturopathie (ND) et le programme de maîtrise en sciences de la médecine orientale (MSOM). Avant d'étudier la médecine naturopathique, il a fréquenté l'université de Notre Dame, où il a obtenu une licence en anglais, puis a suivi un programme de maîtrise en sciences humaines à l'université d'État de l'Arizona.
Au travers de leur article intitulé "Worse Than the Disease ? Reviewing Some Possible Unintended Consequences of the mRNA Vaccines Against Covid-19" (notre traduction "Pire que la maladie ? Examen de certaines conséquences involontaires possibles des vaccins à ARNm contre la COVID-19"). publié dans International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research, ces chercheurs s'interrogent sur cette possibilité de transmission aérienne ou cutanée de vacciné à non vacciné des effets potentiellement toxiques de la protéine de pointe ou Spike pouvant avoir un rôle de prion-like. (Les prions sont "des particules protéiques dépourvues d'acide nucléique, que l'on croit être la cause de certaines maladies infectieuses à développement lent comme la scapie chez les moutons, et la maladie de Creutzfeldt-Jakob et le Kuru chez les humains. Ils seraient responsables d'un certain nombre de maladies qui affectent le cerveau et d'autres tissus neuronaux.)
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Pour rappel, les effets de fusion cellulaire de la protéine Spike ou de pointe ont été mis en évidence par le célèbre Institut Paul Ehrlich (IPE) en Allemagne en février 2021.
- Messen, was verbindet – Gewebeschäden durch Zellfusion in COVID-19 und die Rolle des Spikeproteins
Notre traduction : - Mesurer ce qui se connecte - Les dommages tissulaires observés par fusion cellulaire dans la COVID-19 et le rôle de la protéine de pointe (IPE)
Aussitôt, le lanceur d'alerte, le Dr Wolfgang Wodarg, leur a écrit une lettre pour leur demander pourquoi l'IPE n'évoque pas cette possibilité avec la protéine de pointe produite via les vaccins à l'intérieur de l'organisme par le sujet récepteur du vaccin.
- Question à l'Institut Paul Ehrlich sur les effets de la protéine de pointe produites par les vaccins à ARN et de potentielles "thromboses" (Wodarg.com)
- Un dangereux effet secondaire de la vaccination a-t-il été ignoré par l'Institut Paul Ehrlich ? (Wodarg.com)
- Covid-19. Le Dr Wodarg fait le lien entre les vaccins à ARN et de potentiels cas de "thromboses" en mettant en cause le rôle de la protéine S produite dans le corps par ces vaccins
- Selon le Dr Wolfgang Wodarg, les thromboses, crises cardiaques et hémorragies cérébrales sont possibles après tous les vaccins
En effet, la nouvelle technologie de vaccin à ARN ou à ADN contre la Covid a pour but de faire produire (à l'aide d'une séquence nucléotidique codante pour la protéine Spike) par l'organisme du sujet receveur, une protéine de pointe susceptible de créer des anticorps qui doivent ultérieurement empêcher (neutralisation ou "stérilisation") le coronavirus d'entrer dans les cellules par sa protéine de pointe en se fixant sur le récepteur ACE (enzyme de conversion de l'Angiotensine). Or, si celle-ci a des effets thrombotiques dans le registre de la Covid, des experts se sont demandés dans quelle mesure celles produites par le receveur du vaccin génétique ne peuvent pas dans certains cas produire des thromboses chez ce même receveur. En mars 2021, des premiers cas de décès par thromboses suite à des vaccinations génétiques anti-Covid ont été constatés dans le monde amenant à des pays comme le Danemark, la Norvège ou bien l'Islande à suspendre l'utilisation de certaines types de vaccins notamment à ADN alors qu'il est avéré que ces thromboses graves, même si elles sont rares, peuvent survenir aussi avec les vaccins à ARN.
- "Du sang sur les mains" : Le Royaume-Uni en colère contre les dirigeants de l'UE qui ont critiqué le vaccin Covid d'AstraZeneca "par dépit à cause du Brexit", après qu'une étude ait révélé qu'il présentait le même risque de formation de caillots sanguins que le vaccin Pfizer (Daily Mail)
- Covid-19. Les décès après avoir reçu le vaccin Pfizer sont-ils plus nombreux que ceux après avoir reçu le vaccin AstraZeneca ?
- Le sort s'acharne-t-il sur AstraZeneca ?
Des experts ont dénoncé la potentialité toxique de la protéine S produite dans l'organisme via ces vaccins génétiques.
- L’inventeur du vaccin à ARNm ROBERT MALONE APPUIE LE PROF. BYRAM BRIDLE qui avait déclaré " Nous n'avons pas réalisé qu'en vaccinant les gens, nous leur inoculons par inadvertance une toxine" (audio)
- Covid-19. La protéine Spike, protéine de tous les dangers ?
- Circulation Research SARS-CoV-2 Spike Protein Impairs Endothelial Function via Downregulation of ACE 2
("La protéine de pointe du SRAS-CoV-2 altère la fonction endothéliale via la régulation négative de l'ACE 2")
- La protéine de pointe de la COVID-19 pourrait être un agent pathogène endothélial toxique potentiellement dangereux (Trial Site News) :
"Bridle a déclaré : "est-il donc probable que le vaccin reste dans le muscle de l'épaule ? La réponse rapide est : pas du tout ! Et c'est très inquiétant. La protéine spike passe dans le sang, circule de manière systémique dans le sang pendant plusieurs jours après la vaccination. Elle s'accumule dès qu'elle pénètre dans le sang et s'accumule dans un certain nombre de tissus tels que la rate, la moelle osseuse, le foie, les glandes surrénales et, ce qui m'inquiète particulièrement, elle s'accumule en concentrations assez élevées dans les ovaires".
- Un scientifique spécialiste des vaccins déclare "Nous avons fait une grosse erreur" (Conservative Woman)
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La question posée par Stephanie Seneff et Greg Nigh a donc toute son importance. Est-ce que les personnes vaccinées peuvent transmettre la protéine de pointe et ses potentiels effets toxiques aux personnes non vaccinées ? Ces deux auteurs évoquent la possibilité de transmission (outre la transmission foeto-placentaire) soit par inhalation soit de manière cutanée.
Voici l'extrait de leur spéculation (p.62 de l'article) au chapitre "A Possible Link to Prion Diseases and Neurodegeneration", voir le passage "Vaccine Shedding" (p.62) que nous traduisons (ci-dessous, nous avons mis en caractères gras certains passages).
Dans ce passage, les auteurs évoquent le fait que certains labos pharmaceutiques auraient envisagé des protocoles pour étudier cette possibilité :
"L'excrétion vaccinale : "
"On a beaucoup parlé sur Internet de la possibilité que des personnes vaccinées provoquent des maladies chez des personnes non vaccinées se trouvant à proximité. Bien que cela puisse seembler difficile à croire, il existe un processus plausible par lequel cela pourrait se produire par la libération d'exosomes par les cellules dendritiques de la rate contenant des protéines de pointe (protéine Spike) mal repliées, en complexe avec d'autres protéines de prion reconformées. Ces exosomes peuvent voyager jusqu'à des endroits éloignés. Il n'est pas impossible d'imaginer qu'ils soient libérés par les poumons et inhalés par une personne proche. Des vésicules extracellulaires, y compris des exosomes, ont été détectées dans les expectorations, le mucus, le liquide de revêtement épithélial et de liquide de lavage broncho-alvéolaire en association avec des maladies respiratoires (Luccheti et al., 2021). Une étude de phase 1/2/3 entreprise par BioNTech sur le vaccin à ARNm de Pfizer impliquait dans son protocole d'étude qu'elle prévoyait la possibilité d'une exposition secondaire au vaccin (BioNTech 2020). Le protocole comprenait l'exigence que "l'exposition pendant la grossesse" soit signalée par les participants à l'étude. Ils ont ensuite donné des exemples "d'exposition environnementale pendant la grossesse" qui comprenaient l'exposition à "l'intervention de l'étude par inhalation ou contact avec la peau". Ils ont même suggéré deux niveaux d'exposition indirecte : "Un membre de la famille ou un prestataire de soins de santé qui a été exposé à l'intervention de l'étude par inhalation ou contact cutané expose ensuite sa partenaire féminine avant ou autour du moment de la conception."
Lire l'article en entier en cliquant ici.
MAJ 22.08.21 :
L'hypothèse est séduisante mais il reste à savoir si des personnes vaccinées excrétant la protéine S par voie aérienne ou cutanée en excrètent suffisamment pour induire des effets secondaires chez une personne non vaccinée à proximité. Cela reste à vérifier. C'est sans doute, dans la situation de transmission foeto-placentaire que cette possibilité reste la plus probable. Plusieurs hypothèses quant à l'effet thrombogène de la protéine S ont été avancées soit par un mécanisme auto-immun favorisant des troubles de coagulation ou soit par altération de la fonction endothéliale via la régulation négative du récepteur ACE2 qui fixe la protéine S.
Enfin, la question est de savoir si les personnes non vaccinées s'immunisent secondairement en contact éventuel avec la protéine S excrétée par les vaccinées.
D'ailleurs, les auteurs de l'article paru dans l'IJVTPR préconisent (certains passages sont mis en avant par nous), dans leur conclusion, une série de mesure de surveillance pour parer aux effets secondaires graves des vaccins à séquence génétique. Ils conseillent entre autres : "...Des études comparant les populations qui ont été vaccinées et celles qui ne l'ont pas été afin de confirmer la diminution attendue du taux d'infection et l'atténuation des symptômes dans le groupe vacciné, tout en comparant les taux de diverses maladies auto-immunes et de maladies à prions dans ces deux mêmes populations. Des études visant à déterminer s'il est possible pour une personne non vaccinée d'acquérir des formes vaccinales spécifiques des protéines de pointe d'une personne vaccinée se trouvant à proximité. Des études in vitro visant à déterminer si les nanoparticules d'ARNm oeuvent être absorbées par les spermatozoïdes et converties en plasmides d'ADNc. Des études visant à déterminer si la vaccination peu avant la conception peut avoir des conséquences tels que la progéniture porte dans ses tissus des plasmides codant pour la protéine spike, éventuellement intégrés dans son génome. Des études in vitro visant à mieux comprendre la toxicité de la protéine spike pour le cerveau. le coeur, les testicules, etc..."
A suivre...
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Pour toute question ou remarque merci de nous contacter à l'adresse mail suivante : samlatouch@protonmail.com.
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- Rapport de l'IRSEM de novembre 2018. Comment l'armée française considère le blog de SLT et ...les autres