Lettre ouverte à la MHRA concernant les données sur les décès d'enfants. Signes que les vaccins contre la Covid-19 pourraient avoir causé la mort d'enfants et de jeunes adultes
Article originel : Open Letter to the MHRA Regarding Child Death Data. Signals that Covid-19 Vaccines may have caused death in children and young adults
Dr Jonathan Engler, MBChB, LlB (hons), DipPharmMed et Dr Clare Craig, BM BCh FRCPath
Hartgroup.org, 20 janvier 2022
A l'attention de
Dr June Raine, directrice générale, MHRA
Professeur Lim, président du sous-comité COVID-19 du JCVI
Honorable Sajid Javid, Secrétaire d'Etat à la Santé et aux Soins sociaux
Professeur Sir Chris Whitty, médecin en chef pour l'Angleterre
Sir Patrick Vallance, conseiller scientifique en chef du gouvernement
Dr Jenny Harries OBE, directrice générale de l'UKHSA.
Cher Dr Raine, Professeur Lim, M. Javid, Professeur Whitty, Sir Patrick Vallance & Dr Harries,
URGENT
RE : Signes que les vaccins Covid-19 pourraient avoir causé la mort d'enfants et de jeunes adultes
Nous écrivons pour demander une enquête immédiate et urgente afin de déterminer si les vaccins Covid-19 sont la cause d'un nombre important de décès observés récemment chez des enfants et des jeunes adultes de sexe masculin.
Nous demandons également que les données anonymes et les informations connues, montrant combien d'enfants sont décédés après un vaccin Covid-19 et en combien de jours, soient publiées pour une transparence totale, dans l'intérêt public.
Le jeudi 13 janvier 2022, lors d'une audience à la Haute Cour[1] de Londres, des preuves ont été présentées montrant une augmentation significative du nombre de décès de jeunes hommes suite au déploiement des vaccinations Covid-19 par rapport à la moyenne des cinq années précédentes entre 2015 et 2019. Il est important de considérer les décès masculins séparément, étant donné ce que l'on sait des risques plus élevés de myocardite chez les jeunes hommes.
Entre le 1er mai et le 24 décembre 2021, on a enregistré
402 décès enregistrés chez les hommes de 15 à 19 ans, soit 65 de plus que la moyenne de 337 décès sur cinq ans ;
en revanche, 163 décès enregistrés chez les femmes, soit 12 de moins que la moyenne sur cinq ans de 175 ; et
en combinant ces chiffres, 565 décès d'hommes et de femmes ont été enregistrés au total, soit 53 de plus que prévu.
L'Office for National Statistics a admis que l'augmentation du nombre de décès de jeunes hommes est statistiquement significative, le taux de mortalité se situant en dehors des intervalles de confiance prévus à partir des données des années précédentes.
Ce qui est encore plus inquiétant, c'est que le nombre réel de décès de jeunes hommes au cours de cette période est probablement beaucoup plus élevé que celui enregistré. En effet, l'ONS estime qu'en raison des délais d'enregistrement, les décès enregistrés au cours de cette période ne représentent en moyenne que 62% des décès réellement survenus. Tout décès dont la cause est incertaine aura été transmis au médecin légiste et l'enregistrement de tels décès peut prendre beaucoup de temps. Le fait qu'un signal soit déjà évident dans les décès enregistrés est donc très préoccupant.
En tenant compte de l'estimation de l'ONS, les 65 décès masculins en excès pourraient représenter 105 décès en excès de ces jeunes hommes, en supposant que la proportion de décès qui ont été soumis au médecin légiste est similaire à celle des années précédentes. S'il y a eu plus de renvois au médecin légiste cette année, le chiffre pourrait être plus élevé.
Depuis au moins le 13 octobre 2021, le secrétaire d'État et le JCVI ont été informés de cette augmentation des décès d'hommes par le biais de leur représentation par le département juridique du gouvernement dans les procédures de la Haute Cour. En outre, l'ONS a lui-même maintenant reconnu que davantage de travaux pourraient être entrepris pour examiner les taux de mortalité des jeunes en 2021 et a confirmé par écrit qu'il avait l'intention d'entreprendre ces travaux "lorsque des données plus fiables seront disponibles."
Il existe déjà des signaux de risque
L'incidence d'une mortalité plus élevée chez les jeunes hommes en 2021 coïncidant avec le déploiement des vaccins Covid-19 ne peut être écartée comme une coïncidence, car il y a déjà eu des signaux d'alerte d'événements indésirables graves dans ce groupe d'âge. C'est pourquoi la décision de proposer le vaccin Covid-19 aux moins de 18 ans n'a pas été sans susciter la controverse.
Le JCVI avait précédemment refusé de recommander que les vaccins Covid-19 soient administrés aux jeunes de 12 à 15 ans en bonne santé, car le rapport bénéfice/risque n'était, au mieux, que marginal, compte tenu du très faible risque de maladie grave ou de décès lié à la maladie Covid-19 pour les enfants, de l'incertitude considérable quant aux effets néfastes potentiels des vaccins contre la Covid-19, des signaux d'alerte connus concernant les effets néfastes des vaccins déjà identifiés et de l'absence de données complètes sur l'innocuité à long terme dans des circonstances où les vaccins ont été rapidement mis sur le marché, bien avant la fin des essais cliniques normaux de phase III utilisés pour évaluer l'innocuité. Le 3 septembre 2021, le JCVI a déclaré :
"Dans l'ensemble, le comité est d'avis que les avantages de la vaccination sont légèrement supérieurs aux inconvénients potentiels connus (tableaux 1 à 4), mais reconnaît qu'il existe une incertitude considérable quant à l'ampleur des inconvénients potentiels. La marge de bénéfice, basée principalement sur une perspective de santé, est considérée comme trop faible pour soutenir un conseil sur un programme universel de vaccination des enfants de 12 à 15 ans, par ailleurs en bonne santé, à l'heure actuelle. Au fur et à mesure que s'accumulent les données à plus long terme sur les effets indésirables potentiels, les avantages et les inconvénients de la vaccination seront évalués.
Une enquête doit être menée
Compte tenu de l'augmentation des décès chez les jeunes hommes et des problèmes de sécurité connus, une enquête doit être menée. Il n'est pas suggéré que l'augmentation observée de la mortalité prouve que les vaccins Covid-19 provoquent des décès, que ce soit par myocardite ou par un autre mécanisme, mais un lien ne peut être exclu. Le signal potentiel est suffisamment fort pour que des investigations urgentes commencent immédiatement afin d'exclure cette possibilité. Chaque destinataire de cette lettre a le devoir d'enquêter. Ne pas le faire serait un grave manquement à son devoir.
Le CJVI a le devoir permanent de revoir ses conseils en fonction de l'apparition de nouvelles données. Il a expressément déclaré à plusieurs reprises que des données supplémentaires étaient nécessaires ou attendues.
La MHRA est chargée de la surveillance des vaccins en temps réel et a le devoir de surveiller les données relatives aux vaccins Covid-19 pour détecter les signaux de sécurité. Elle le fait par le biais du système de rapport Yellow Card, mais son rôle ne devrait pas être confiné à un seul système de surveillance passive. Le groupe de travail d'experts de la Commission des médicaments humains, qui a été créé pour conseiller la MHRA sur sa stratégie de surveillance de la sécurité des vaccins Covid-19, reconnaît que la surveillance passive repose sur le fait qu'une personne soupçonne ou "établit un lien" entre le médicament ou le vaccin et une maladie inexpliquée, puis le signale, et qu'il est donc important d'inclure d'autres formes de vigilance pour compléter le système de la carte jaune.
Il ne fait donc aucun doute que la MHRA a le devoir d'enquêter sur l'incidence de la surmortalité chez les jeunes hommes dans les données détenues par l'ONS, que des rapports de carte jaune aient été soumis ou non.
Le Secrétaire d'Etat, en tant que responsable du programme de vaccination du gouvernement, a également le devoir primordial, dans l'intérêt public, de surveiller la sécurité et l'efficacité des vaccins Covid-19.
Les données sont disponibles et peuvent être facilement examinées.
Il ne devrait pas être difficile d'enquêter sur ces préoccupations. L'ONS a confirmé (à la Cour) qu'il était en mesure de fournir des données précises et anonymes, y compris le nombre de jours entre la vaccination et le décès. Rien n'indique que la collecte ou l'analyse de ces données présente des difficultés. Si, par exemple, les données révèlent une concentration de décès survenant à proximité de la date de vaccination, cela pourrait renforcer les craintes d'un lien de causalité positif (par exemple, selon les critères de Bradford Hill) et des enquêtes plus approfondies seraient nécessaires. Une incidence plus élevée de mortalité chez les enfants après la vaccination est une cause majeure de préoccupation et pourrait indiquer la nécessité d'interrompre immédiatement le programme de vaccination. Si aucune indication de lien de causalité n'est apparente, cela pourrait contribuer à rassurer le public quant à la sécurité des vaccins.
Bien que l'arrêt du programme de vaccination Covid-19 chez les enfants soit l'objectif visé par un recours en justice devant la Haute Cour, les tribunaux ont jusqu'à présent considéré que le déploiement massif chez les moins de 18 ans était une décision politique du Secrétaire d'État avec laquelle le pouvoir judiciaire ne peut interférer. Ce point de vue de la cour, qui porte sur des principes juridiques particuliers du contrôle judiciaire, n'entrave en rien l'enquête que nous demandons. En effet, l'honorable juge Jay a fait remarquer lors d'une audience, à laquelle le secrétaire d'État était représenté, qu'il s'attendait à ce que la JCVI "réclame à cor et à cri les données" relatives à l'incidence des décès après la vaccination.
Des informations ont déjà été demandées et promises par le Secrétaire d'État.
Cette demande d'informations concernant les décès consécutifs à une vaccination n'est pas nouvelle. A plusieurs reprises, cette question a été soulevée à la Chambre des Communes. Par exemple, le 25 mars 2021, en réponse aux questions de M. William Wragg MP et de Sir Christopher Chope MP sur l'incidence des décès dans les trois semaines suivant la vaccination Covid-19, le Secrétaire d'État de l'époque, Matt Hancock, a assuré le Parlement que c'était exactement le genre de choses qu'il examinait et que, s'il y avait des données non publiées, il examinerait la possibilité de les publier parce que le gouvernement voulait être complètement ouvert et transparent pour rassurer les gens sur le fait que les risques sont extrêmement faibles.
Il est extrêmement inquiétant que les données concernant les décès consécutifs à la vaccination Covid-19 ne semblent pas avoir été collectées et analysées ou, si elles l'ont été, qu'il ait été décidé de ne pas les publier. Malheureusement, l'impression donnée n'est pas celle de la transparence, mais plutôt celle de la dissimulation de l'information. L'impact à long terme sur la confiance dans les représentants élus et dans les organismes de réglementation qui les conseillent ne peut être sous-estimé. On ne peut pas non plus sous-estimer l'importance potentielle des signaux de données qui semblent émerger.
Notre demande et notre requête
À la lumière de ce qui précède et compte tenu de toutes les circonstances, nous vous demandons de confirmer par retour les points suivants :
1. Que chacun d'entre vous enquêtera sur l'augmentation de la mortalité au cours de la période du 1er mai 2021 au 24 décembre 2021 (et au-delà) chez les jeunes hommes, telle qu'enregistrée par l'ONS, afin de déterminer la raison de cette augmentation et si un lien de causalité avec les vaccins Covid-19 peut raisonnablement être exclu.
2. Quelles mesures ont été prises jusqu'à présent, le cas échéant, pour mener l'enquête requise et, si une telle enquête a déjà commencé, veuillez confirmer quand elle a débuté, quelle est sa portée, quel stade elle a atteint et quand elle doit être terminée. Si aucune mesure n'a encore été prise, veuillez expliquer pourquoi.
3. Vous allez maintenant chercher à obtenir de l'ONS, sans délai, les données suivantes pour tous les décès des 12-19 ans survenus à partir du 1er mai 2021 à ce jour :
a. Âge (dans le groupe d'âge 12-15 ans ou 16-19 ans)
b. Sexe
c. Si la personne a reçu la première dose d'un vaccin Covid-19 (et s'il s'agit de Moderna ou de Pfizer).
d. Si la personne a reçu la dose 2 du vaccin Covid-19 (et si Moderna ou Pfizer).
e. Le cas échéant, le nombre de jours où le décès a suivi la dose 1 (si la dose 2 n'a pas été administrée) ou le nombre de jours où le décès a suivi la dose 2 (si elle a été administrée).
4. Que le Secrétaire d'État publiera les données obtenues ou qu'il fera en sorte que l'ONS publie ces données.
5. Si vous avez conclu, et si oui quand, qu'un lien de causalité avec les vaccins Covid-19 peut être exclu ou considéré comme une possibilité négligeable, et sur quelle base.
6. Ce que vous suggérez pour expliquer l'augmentation statistiquement significative des décès chez les jeunes hommes entre le 1er mai 2021 et le 24 décembre 2021, en dehors d'un éventuel lien de causalité avec les vaccins Covid-19.
7. Que vous fournissiez les principales sources de preuves sur lesquelles vous vous êtes appuyé, en ce qui concerne toute explication fournie, pour soutenir et expliquer pourquoi cette augmentation n'a pas également été observée à d'autres périodes (par exemple, en 2020, lorsque la pandémie est apparue et que les décès de jeunes hommes étaient inférieurs à la moyenne).
Nonobstant le fait que nous n'acceptons pas que les données modélisées sur les absences aient pu justifier la décision de déployer les vaccins aux enfants d'âge scolaire, veuillez également confirmer par retour :
8. Que chacun d'entre vous prendra des mesures pour enquêter sur les données disponibles depuis la décision du 13 septembre 2021, en suivant l'avis des médecins-chefs, quant (a) au niveau des absences scolaires (b) si le bénéfice modélisé d'éviter les absences scolaires a été atteint et (c) dans quelle mesure l'absence a été causée par chacun de (i) l'administration du programme de vaccination et (ii) les effets indésirables du programme de vaccination.
9. Quelles mesures ont été prises jusqu'à présent, le cas échéant, pour enquêter sur les données relatives aux absences scolaires depuis cette décision du 13 septembre 2021 et, si une telle enquête a déjà commencé, veuillez confirmer quand cette enquête a commencé, quelle est sa portée, quel stade elle a atteint et quand elle doit être terminée. Si aucune mesure n'a encore été prise, veuillez en expliquer les raisons.
Publication des données
Nous ne voyons pas d'obstacle à la publication des données demandées. L'ONS s'est inquiété au tribunal du fait que la publication des données demandées pourrait être divulguée, dans la mesure où elle permettrait d'identifier les personnes concernées lorsqu'elle est associée à des reportages et autres informations du domaine public. Cependant, nous ne comprenons pas comment cela serait même conceptuellement possible étant donné la nature généralisée des données demandées. Nous notons également les données régionales et quotidiennes publiées par l'ONS concernant les décès impliquant le Covid-19.
Aucun nom, aucune donnée régionale, aucune date de naissance ou de décès ne sont demandés. Avec l'aide de l'ONS, veuillez fournir un exemple afin que nous et le public puissions comprendre pourquoi les données demandées pourraient être retenues au motif qu'elles pourraient être divulguées.
L'urgence absolue
Enfin, le message actuel du gouvernement aux enfants reste "faites-vous vacciner". Avant, c'était "chaque vie compte". Si la probabilité d'un lien de causalité était établie entre l'augmentation de l'incidence des décès et les vaccins Covid-19, ce serait une affaire des plus sérieuses. La mort d'un seul enfant à cause d'un vaccin Covid-19 serait une tragédie. Il va donc de soi qu'une enquête est de la plus haute urgence.
On ne peut ignorer que 65 décès chez les jeunes hommes au-dessus de la moyenne normale des décès équivaut à 2 décès par semaine chaque semaine entre le 1er mai et le 24 décembre 2021. Si l'on tient compte des 38% de décès non enregistrés, le chiffre réel pourrait être d'au moins 3 par semaine. Bien entendu, ce chiffre ne concerne que la tranche d'âge des 15-19 ans. Au cours de la même période, seuls 2 décès enregistrés dans la même tranche d'âge ont été enregistrés comme " impliquant " Covid.
Nous attendons votre réponse substantielle dès que possible et en tout cas dans les 7 jours.
Cette lettre a été publiée ouvertement et nous espérons qu'elle sera largement partagée, de même que toute réponse.
Nous vous prions d'agréer, Madame, Monsieur, l'expression de nos sentiments distingués,
Dr Jonathan Engler, MBChB, LlB (hons), DipPharmMed et Dr Clare Craig, BM BCh FRCPath
Co-présidents de HART (Health Advisory & Recovery Team, www.hartgroup.org)
Signataires de HART :
Professeur Richard Ennos, MA, PhD. Membre honoraire du corps professoral, Université d'Édimbourg
John Collis, RN, infirmier praticien spécialisé
Dr Elizabeth Evans, MA, MBBS, DRCOG, médecin retraité
Dr John Flack, BPharm, PhD. Directeur retraité de l'évaluation de l'innocuité chez Beecham Pharmaceuticals 1980-1989 et vice-président principal pour la découverte de médicaments 1990-92 SmithKline Beecham
Dr Ali Haggett, travail communautaire dans le domaine de la santé mentale, troisième secteur, ancien maître de conférences en histoire de la médecine.
M. Anthony Hinton, MBChB, FRCS, consultant en chirurgie ORL, Londres
Dr Keith Johnson, BA, D.Phil (Oxon), consultant IP pour les tests de diagnostic
Dr Rosamond Jones, MD, FRCPCH, pédiatre consultant à la retraite
Dr Tanya Klymenko, PhD, FHEA, FIBMS, maître de conférences en sciences biomédicales
M. Malcolm Loudon, MB ChB, MD, FRCSEd, FRCS (Gen Surg), MIHM, VR. Chirurgien consultant
Dr Alan Mordue, MBChB, FFPH (ret). Consultant retraité en médecine de santé publique et épidémiologie.
Sue Parker Hall, CTA, MSc (Counselling & Supervision), MBACP, EMDR. Psychothérapeute
Rev Dr William J U Philip MB ChB, MRCP, BD, ministre principal The Tron Church, Glasgow, anciennement médecin spécialisé en cardiologie.
Dr Gerry Quinn, PhD, microbiologiste
Dr Jon Rogers, MB ChB (Bristol), médecin généraliste à la retraite
Natalie Stephenson, BSc (Hons) Audiologiste pédiatrique
Autres signataires
Professeur Anthony J Brookes, professeur de génomique et de science des données de santé, université de Leicester.
Professeur Angus Dalgleish, MD, FRCP, FRACP, FRCPath, FMedSci, professeur d'oncologie, St George's Hospital, Londres
Professeur John A Fairclough, BM BS, BMed Sci, FRCS, FFSEM(UK), professeur émérite, consultant honoraire en chirurgie orthopédique.
Professeur Martin Neil, BSc PhD, Professeur d'informatique et de statistiques
Professeur Keith Willison, PhD, professeur de biologie chimique, Imperial, Londres
Lord Moonie, MBChB, MRCPsych, MFCM, MSc, Chambre des Lords, ancien sous-secrétaire d'État parlementaire 2001-2003, ancien consultant en médecine de santé publique
Julie Annakin, RN, infirmière spécialisée en immunisation
Dr Michael Bazlinton, MBCHB MRCGP DCH
Dr David Bell, MBBS, PhD, FRCP(UK)
Dr Mark A Bell, MBChB, MRCP(UK), FRCEM, consultant en médecine d'urgence, UK
Dr Michael D Bell, MBChB, MRCGP, médecin généraliste à la retraite
Dr Alan Black, MBBS, MSc, DipPharmMed, médecin retraité de l'industrie pharmaceutique
Dr David Bramble, MBChB, MRCPsych, MD. Psychiatre consultant
Dr Emma Brierly, MBBS, MRCGP, médecin généraliste
Kim Bull, diplôme de base en sciences paramédicales, paramédical
Dr Elizabeth Burton, MB ChB, médecin généraliste à la retraite
Dr Peter Chan, BM, MRCS, MRCGP, NLP, médecin généraliste, praticien en médecine fonctionnelle, formateur de médecins généralistes.
Michael Cockayne MSc, PG Dip, SCPHNOH, BA, RN Praticien de la santé au travail
M. Ian F Comaish, MA, BM BCh, FRCOphth, FRANZCO, ophtalmologue consultant
James Cook, infirmier agréé NHS, Bachelor of Nursing (Hons), Master of Public Health (MPH)
Dr Zac Cox, BDS, LCPH, dentiste
Dr David Critchley, BSc, PhD, 32 ans dans la R&D pharmaceutique en tant que scientifique en recherche clinique
Dr Damien Downing, MBBS, MRSB, médecin privé
M. Christian Duncan, MB BCh, BAO, MPhil, FRCSI, FRCS (Plast), consultant en chirurgie plastique
Dr Chris Exley, PhD FRSB, professeur retraité de chimie bioinorganique
Dr Charles Forsyth, MBBS, BSEM, praticien médical indépendant
Dr Jenny Goodman, MA, MBChB, médecine écologique
Dr Catherine Hatton, MBChB, médecin généraliste
Dr Renee Hoenderkamp, médecin généraliste
Dr Andrew Isaac, MB BCh, médecin, retraité
Dr Pauline Jones MB BS, médecin généraliste à la retraite
Dr Charles Lane, biologiste moléculaire
Dr Branko Latinkic, BSc, PhD, biologiste moléculaire
Dr Theresa Lawrie, MBBCh, PhD, directrice, Evidence-Based Medicine Consultancy Ltd, Bath
Dr Jason Lester, MRCP, FRCR, consultant en oncologie clinique
Dr Felicity Lillingstone, IMD DHS PhD ANP, médecin, soins urgents, chargée de recherche
Katherine MacGilchrist, BSc (Hons) Pharmacology, MSc Epidemiology, CEO, Systematic Review Director, Epidemica Ltd.
Dr C Geoffrey Maidment, MD, FRCP, médecin consultant à la retraite
M. Ahmad K Malik, FRCS (Tr & Orth), Dip Med Sport, Consultant en chirurgie traumatique et orthopédique
Dr Kulvinder S. Manik MBChB, MRCGP, MA(Cantab), LLM, Gray's Inn
Dr Dee Marshall, MBBS, MFHom, médecine nutritionnelle
Dr Julie Maxwell, MBBCh, MRCPCH, spécialiste associée en pédiatrie communautaire
Dr S McBride, BSc(Hons) Medical Microbiology & Immunobiology, MBBCh BAO, MSc in Clinical Gerontology, MRCP(UK), FRCEM, FRCP(Edinburgh). Médecine d'urgence NHS et gériatrie
M. Ian McDermott, MBBS, MS, FRCS(Tr&Orth), FFSEM(UK), Consultant en chirurgie orthopédique
Dr Niall McCrae RMN, PhD, chercheur en santé mentale et responsable du syndicat des travailleurs d'Angleterre
Dr Franziska Meuschel, MD, ND, PhD, LFHom, BSEM, Nutritionnel, Environnemental et Intégré
Traduction SLT avec DeepL.com