Le réaménagement de la Tate Britain met l'accent sur l'esclavage dans le cadre d'une " refonte inclusive ".
Article originel : Tate Britain’s rehang to focus on slavery in ‘inclusive revamp’
Par Craig Simpson
The Telegraph, 21 Janvier 2023
Dehors : Le traitement du Paradis perdu par William Hogarth en 1734, intitulé Satan, le péché et la mort, a été retiré des murs de la Tate Britain Crédit : Alamy Stock Photo
Les peintures liées à l'Empire britannique seront retirées des réserves et exposées avec des étiquettes expliquant les liens avec le racisme, le colonialisme et la traite des esclaves.
Dehors : Le traitement du Paradis perdu par William Hogarth en 1734, intitulé Satan, le péché et la mort, a été retiré des murs de la Tate Britain.
Out : Le traitement du Paradis perdu par William Hogarth en 1734, intitulé Satan, le péché et la mort, a été retiré des murs de la Tate Britain Crédit : Alamy Stock Photo
La Tate Britain a rempli ses galeries de peintures liées à l'esclavage et au colonialisme, tout en retirant des œuvres d'art nationales prisées, dans le cadre d'une refonte "inclusive" que les critiques ont qualifiée de "polémique contre le passé".
Les conservateurs ont travaillé sur une refonte destinée à créer une "narration plus inclusive de l'art et de l'histoire britanniques".
Les peintures liées à l'Empire britannique ont été retirées des réserves et exposées avec des étiquettes expliquant les liens avec le racisme, le colonialisme et la traite des esclaves...
Traduction SLT
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