Surmortalité, décès suite à la vaccination et suppression du système immunitaire induite par les IgG4 (Substack)

Surmortalité, décès dus aux vaccins et suppression du système immunitaire induite par les IgG4
Article originel : Excess Deaths, Vaccine Deaths & IgG4-Induced Suppression of the Immune System
NE - nakedemperor.substack.com, 29.03.23

Une mise à jour des études récentes.

Après avoir suivi la tendance habituelle à la baisse après l'hiver, la surmortalité en Angleterre et au Pays de Galles est repartie à la hausse. En Angleterre, près de 1 000 décès en excès ont été enregistrés cette semaine, soit 9,5 % de plus que la moyenne. Au Pays de Galles, la surmortalité a été cette semaine supérieure de 12,6 % à la moyenne. Cette situation est manifestement inhabituelle et ne fait pas l'objet d'une enquête suffisante.

Diagramme à barres et diagramme linéaire montrant que le nombre total de décès, toutes causes confondues, était supérieur à la moyenne quinquennale au cours de la semaine 11 2023.

L'une des raisons possibles de la surmortalité toujours aussi élevée est la présence d'anticorps IgG4, comme nous l'avons déjà évoqué. Un nouvel article publié hier s'intéresse aux anticorps IgG4 induits par les vaccins à ARNm et à la tolérance immunitaire au pic de SRAS-CoV-2 générée par la suppression du système immunitaire.

L'article indique que des recherches récentes ont fait craindre que les vaccins ARNm n'induisent une tolérance immunitaire qui, ajoutée à celle causée par le virus lui-même, pourrait compliquer l'évolution clinique d'une infection par le COVID-19. Des études récentes ont également révélé des taux élevés d'IgG4 après deux injections ou plus d'ARNm.

En conclusion, les auteurs affirment que les données disponibles suggèrent qu'un taux élevé d'IgG4 n'est pas un mécanisme de protection, mais qu'il pourrait plutôt faire partie du mécanisme de tolérance immunitaire à la protéine spike qui pourrait favoriser l'infection et la réplication du SRAS-CoV2 sans opposition en supprimant les réponses antivirales naturelles. La suppression du système immunitaire induite par les IgG4 à la suite de vaccinations répétées peut également provoquer des maladies auto-immunes, favoriser la croissance du cancer et une myocardite auto-immune chez les personnes sensibles.

Les auteurs énumèrent six façons dont le mécanisme de tolérance immunitaire induit par les vaccins à ARNm pourrait avoir des conséquences inattendues :

    1. En ignorant la protéine spike, le système immunitaire de l'hôte devient vulnérable à la réinfection, ce qui permet la réplication libre du virus. Cela pourrait entraîner des dommages importants, voire la mort, chez les personnes malades ou immunodéprimées ;

    2. Les vaccins altèrent temporairement la signalisation de l'interféron, ce qui entraîne une immunodépression et rend l'individu vulnérable à d'autres agents pathogènes. Ils peuvent également permettre la réactivation d'infections virales, bactériennes ou fongiques latentes, ainsi que la croissance incontrôlée de cellules cancéreuses ;

    3. Les systèmes immunitaires tolérants peuvent favoriser les infections chroniques, comme le VHB, le HBC ou le VIH ;

    4. Cet effet immunosuppresseur pourrait expliquer une pléthore d'affections auto-immunes, de cancers, de réinfections et de décès ;

    5. La vaccination répétée peut dépasser la capacité du système immunitaire et conduire à l'auto-immunité.

    6. Elle peut provoquer une myocardite auto-immune.

Toutefois, la bonne nouvelle est que ces effets négatifs ne devraient pas toucher toutes les personnes vaccinées. Les personnes présentant une susceptibilité génétique, des déficiences immunitaires et des comorbidités sont susceptibles d'être les plus touchées. Cela ressemble à la liste des personnes que l'on encourage à recevoir de nombreux rappels.

Enfin, l'ONS a publié hier des données sur le risque de décès après une vaccination contre la Covid-19 ou un test SRAS-CoV-2 positif chez les jeunes en Angleterre entre le 8 décembre 2020 et le 25 mai 2022.

Les données montrent que les femmes âgées de 12 à 29 ans étaient 3,5 fois plus susceptibles de mourir de maladies cardiaques si elles avaient été vaccinées avec le vaccin AstaZeneca.

Combien de femmes sont mortes inutilement parce qu'on les a poussées à se faire vacciner alors qu'elles n'en avaient pas besoin ? En outre, de nombreux pays européens ont interdit le vaccin d'AstraZeneca pour les jeunes au moins un mois avant l'Angleterre. Là encore, combien de jeunes femmes sont mortes inutilement parce que les signaux de sécurité ont été ignorés ?

Une analyse légèrement différente menée par Clare Craig a comparé le pourcentage de décès d'origine cardiaque chez les personnes non vaccinées et vaccinées. 10,2 % des personnes non vaccinées sont décédées des suites d'un accident cardiaque, tandis que 15,6 % des personnes vaccinées dans les 12 semaines sont décédées des suites d'un accident cardiaque.

Je continuerai à examiner ces données au cours des prochains jours, car je suis sûr qu'il y a d'autres pépites intéressantes à découvrir.

Traduction SLT