Brigitte Macron s'est indignée mardi de "la lâcheté" des auteurs de l'agression la veille de son petit-neveu en marge d'une manifestation contre la réforme des retraites, des voix à gauche comme à droite s'inquiétant de la violence du débat politique. Depuis Reyjkavik, Emmanuel Macron a dénoncé "des actes insupportables et inqualifiables". "La violence n'a pas sa place en démocratie (...) Aucune forme de violence ne se justifie", a-t-il affirmé...