JD Vance, le racisme étatsunien et le fascisme allemand
Article originel : JD Vance, American Racism, and German Fascism
Par Chuck Idelson
Common Dreams, 18.02.25
Des milliers de personnes se rassemblent sur la place Bebelplatz à Berlin pour protester contre l’extrémisme d’extrême droite, le racisme et la xénophobie, tout en manifestant contre les partis d’extrême droite à Berlin, en Allemagne, le 16 février 2025. (Photo par Halil Sagirkaya/Anadolu via Getty Images)
Une histoire sordide à retenir et les perspectives horribles d’un vice-président embrassant le parti néo-nazi allemand.
Le fait que J.D. Vance, le vice-président de la Confédération, ait embrassé le parti néo-nazi allemand lors d’une visite très médiatisée à Munich la semaine dernière a suscité l’indignation et l’inquiétude dans toute l’Europe. Il s’agissait du dernier exemple d’une longue histoire de racisme et de liens entre les États-Unis et le régime nazi, qui devrait être un avertissement clair de ce que cela présage pour les États-Unis également.
Le refus de Vance de rencontrer le chancelier allemand Olof Scholz, qui a tenu une réunion privée avec le leader d’Alternative for Germany (AfD), a suivi la vidéo d’Elon Musk lors du coup d’envoi de la campagne pour l’AfD. Cela a également coïncidé avec l’escalade de l’éviscération des programmes fédéraux et du licenciement des travailleurs par l’administration Musk-Trump, une étape clé pour l’établissement d’un régime autoritaire au pays.
La montée de l’AfD et l’élection du président Donald Trump ont été toutes deux animées par des pratiques et une idéologie racistes vitrioliques, un rappel frappant de la façon dont l’héritage des États‐Unis en matière de comportement et de lois racistes était un modèle premier pour l’ascension d’Hitler et du fascisme nazi. Et comment le succès d’Hitler a inspiré les acolytes de Hitler comme Charles Lindberg, le père Coughlin et Henry Ford.... Lire la suite