Vaccins à ARNm synthétique et dérèglement transcriptionnel : preuves issues d'effets indésirables et de cancers nouvellement apparus après la vaccination
Article originel : Synthetic mRNA Vaccines and Transcriptomic Dysregulation: Evidence from New-Onset Adverse Events and Cancers Post-Vaccination
Par Natalia von Ranke, Wei Zhang, Philipp Anokin, Nicolas Hulscher, Kevin J. McKernan, Peter A. McCullough, John A. Catanzaro
Preprints.org, 25.07.25.
Cet article en pré-publication n'a pas encore été reviewé par des pairs.
Contexte/Objectifs : Les vaccins à ARNm synthétique ont suscité des inquiétudes concernant l'expression prolongée de la protéine Spike, l'activation immunitaire et les effets hors cible potentiels. Cette étude examine les altérations transcriptomiques chez les personnes présentant des effets indésirables nouvellement apparus ou un cancer après la vaccination à ARNm contre la COVID-19.
Méthodes : Un séquençage d'ARN en vrac a été réalisé sur le sang périphérique de deux groupes de patients : les personnes présentant des effets indésirables non malins nouvellement apparus et les personnes nouvellement diagnostiquées avec un cancer après la vaccination. Un groupe témoin composé d'individus en bonne santé a été utilisé à des fins de comparaison. L'expression génique différentielle a été analysée à l'aide de DESeq2, et une analyse d'enrichissement des ensembles de gènes (GSEA) a été réalisée à l'aide de la base de données MSigDB et d'ensembles de gènes personnalisés.
Résultats : Les deux groupes de patients vaccinés ont présenté une dérégulation transcriptionnelle généralisée. Dans le groupe présentant des effets indésirables non malins, les enrichissements caractéristiques comprenaient un dysfonctionnement mitochondrial, un stress médié par le protéasome, une instabilité transcriptomique et une inflammation systémique. Le groupe atteint d'un cancer présentait des caractéristiques supplémentaires d'instabilité génomique et de reprogrammation épigénétique. La dégradation médiée par des non-sens (NMD), le stress ribosomique et l'activation de MYC étaient importants dans les deux groupes, tandis que la signalisation immunitaire via les TLR et les interférons de type I était particulièrement élevée chez les patients atteints d'un cancer.
Conclusions : Les profils de transcription observés indiquent des réponses cellulaires persistantes au stress, un dysfonctionnement mitochondrial et une dérégulation immunitaire après l'exposition à des vaccins à ARNm, potentiellement chez les personnes sensibles. Les signatures moléculaires communes et distinctes dans les deux cohortes démontrent les mécanismes sous-jacents contribuant à la symptomatologie et aux complications post-vaccinales, y compris l'oncogenèse et/ou la progression de maladies malignes. Ces résultats soulignent la nécessité d'une étude plus approfondie de la sécurité à long terme des vaccins à ARNm et de la variabilité des réponses de l'hôte... Lire la suite
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Lire aussi :
- First Direct Molecular Evidence of mRNA "Vaccine" GENOMIC INTEGRATION
("Première preuve moléculaire directe de l'intégration génomique de l'ARN du « vaccin »" Substack, 28.08.25)
Au cours des dernières semaines, de plus en plus d'éléments tendent à prouver que l'ère des plateformes d'ARNm synthétique a des conséquences bien plus graves que ce que les décideurs politiques, les entreprises pharmaceutiques et les organismes de réglementation ont publiquement reconnu. Une étude préliminaire récemment publiée a confirmé ce que des laboratoires indépendants et des cliniciens avaient déjà signalé : les technologies d'ARNm synthétique ne sont pas de simples messagers transitoires, elles peuvent entraîner une instabilité génétique persistante, une intégration hôte-vecteur et un dérèglement moléculaire à long terme...
... Ce que confirme la prépublication
L'article publié sur Preprints.org (202507.2155) corrobore ces conclusions. Les auteurs démontrent que la contamination par des matrices d'ADN plasmidique, utilisées dans la production de vaccins à ARNm, a introduit une voie supplémentaire de corruption génomique. Alors que beaucoup étaient rassurés par le fait que l'ARNm ne pouvait pas altérer l'ADN, cette nouvelle preuve montre clairement que
les restes d'ADN plasmidique peuvent s'intégrer dans le génome de l'hôte.
- Les mutations somatiques observées sont compatibles avec une altération de la stabilité de l'ADN.
- Le chaos de la transcription de l'ARN aggrave encore l'instabilité moléculaire, perturbant la programmation cellulaire et la régulation immunitaire.
Cela correspond à nos observations de surveillance moléculaire dans le monde réel. Le problème n'est pas théorique, il est mesurable chez les patients aujourd'hui...
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