Covid19...84. L'OMS attise-t-elle la coronapanique en suivant un agenda plus politique que sanitaire ?

L'organisation de l'OMS en partie financée par Bill Gates & Co, attise-t-elle la coronapanique ?
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"Le taux de mortalité associé au COVID-19 est estimé à dix fois plus élevé que celui de la grippe", a déclaré jeudi le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) Tedros Adhanom Ghebreyesus selon Xinhuanet. (Le taux de mortalité lié au COVID-19 est estimé à dix fois plus élevé que celui de la grippe, selon l'OMS)

Or le directeur de l'OMS, qui pour la première fois n'est pas un médecin, ne tient pas compte des modalités de décompte erroné des décès dus au Coronavirus. En effet beaucoup de personnes décédées avaient le coronavirus mais sont décédées de pathologies sous-jacentes.
- Covid19...84; Selon les données de l'État de New York, 86 % de tous les décès concernent des personnes souffrant de maladies sous-jacentes
- 99% des personnes décédées des suites du coronavirus avaient une autre maladie, selon les autorités italiennes (Bloomberg)

Pire, l'OMS soutient de surprenantes consignes quant au décompte des morts par coronavirus dans les différents pays : " Les directives bizarres des autorités sanitaires du monde entier incluent potentiellement des milliers de patients décédés qui n'ont même pas été testés....Les "directives" détaillées mentionnées ont été publiées le 3 avril, et ne sont pas meilleures : Dans les cas où un diagnostic définitif de COVID-19 ne peut pas être fait, mais qu'il est suspecté ou probable (par exemple, les circonstances sont convaincantes avec un degré raisonnable de certitude), il est acceptable de déclarer COVID-19 sur un certificat de décès comme "probable" ou "présumé". Dans ces cas, les certificateurs doivent utiliser leur meilleur jugement clinique pour déterminer si une infection COVID-19 était probable."

Pourtant, de nouvelles études scientifiques évoquent le caractère faiblement mortel du Coronavirus qui pourrait être encore moins sévère que la grippe :
- Après réévaluation par l'Institut national de la santé, la mortalité liée directement au Coronavirus en Italie pourrait être 8 fois moins importante
- Selon une nouvelle étude de Ioannidis et al., le risque de décès lié au COVID-19 pour les personnes de moins de 65 ans est encore plus faible que le risque de mourir d'un accident de voiture durant les trajets quotidiens.
- Selon M. Poch et al, le Covid-19 en Autriche n'a aucune influence sur le risque de mortalité

Une étude récente du British Medical Journal, à partir des données de Wuhan révèle que 80% des cas étaient asymptomatiques en Chine.
- Covid-19 : 80% des cas sont asymptomatiques, selon les données de la Chine (BMJ)
"Il ne fait aucun doute que le covid-19 pourrait être beaucoup plus largement diffusé que certains ne le croient. Le confinement va nous mettre tous en faillite, nous et nos descendants, et il est peu probable à ce stade de ralentir ou d'arrêter la circulation du virus, car le génie est sorti de la bouteille...La situation actuelle se résume à ceci : l'effondrement économique est-il un prix à payer pour arrêter ou retarder ce qui est déjà parmi nous ?".

Au lieu d'appeler à l'apaisement, l'OMS, au regard de la prétendue menace du Covid19, intensifie la peur dans l'opinion publique et dans le monde : "Cette pandémie est bien plus qu'une crise sanitaire. Elle nécessite une réponse pangouvernementale et pansociétale", a déclaré son directeur. (Xinhuanet, 9.04.20 Le taux de mortalité lié au COVID-19 est estimé à dix fois plus élevé que celui de la grippe, selon l'OMS). La "réponse pangouvernementale et pansociétale" voulue par l'OMS renvoie-t-elle à une gouvernance mondiale ?

De grands experts mettent en cause à mots voilés la politique de l'OMS et des gouvernements des pays occidentaux :
- Un fiasco en perspective ? Alors que la pandémie de coronavirus s'installe, nous prenons des décisions sans disposer de données fiables (Statnews)

Il s'avère que le taux de mortalité énoncé de l'OMS de 3.4% il y a quelques semaines est grandement erroné. L'IHU de Marseille a publié un article intitulé SARS-CoV-2: fear versus data ("peur contre données") et il semble bien que l'OMS amplifie la panique au lieu d'une étude raisonnée des données non biaisées comme le révèlent de nombreux experts scientifiques du domaine médical :
"L'Organisation mondiale de la santé et de nombreux experts ont communiqué au monde un taux brut de mortalité pour le COVID-19 de 3,4%, provoquant la panique : cela indique (à tort) un danger pour la population environ 30 fois plus élevé qu'avec le virus de la grippe, qui est estimé à 0,1%. Outre l'idée (et non la preuve, comme nous l'avons vu plus haut) d'une pandémie exceptionnelle, cette déclaration représente le deuxième facteur essentiel d'activation de la panique. L'approche consiste ici à dénombrer le nombre de décès par rapport au nombre de tests positifs effectués. Comme les tests ne sont en général pas effectués sur des personnes légèrement atteintes ou sans symptômes, cette approche ignore leur forte présence (des personnes peu ou asymptomatiques, ndlr), selon les estimations, allant pour le COVID-19 de 82-90% en Chine (Li et al. [10]) jusqu'à 99,5% en Allemagne (Bhakdi [11]).

Un tel taux brut de mortalité est donc trop élevé, ne fournissant pas l'information pertinente essentielle : le nombre de décès calculé sur le total des infections par un virus donné, y compris toutes les formes cliniques, de l'asymptomatique au mortel. Ce taux de mortalité est celui qui représente le danger réel auquel la population humaine est exposée lorsqu'elle est infectée : c'est le taux de mortalité par infection.

Il est à noter que le type de calcul suivi par Roussel et al. ([5]] mentionné ci-dessus) prenait en compte le pourcentage de décès concernant les tests positifs effectués, avec des valeurs brutes de mortalité élevées. L'utilité de cette étude réside toutefois, comme nous l'avons vu plus haut, dans la comparaison entre la mortalité des souches de coronavirus les plus âgées et celle des souches coronavirus actuelles du SRAS-CoV-2.

Ioannidis [6] estime que le taux de mortalité par infection pour le COVID-19 se situe entre 0,05 et 1 %. En supposant une valeur de mortalité moyenne de 0,3 % et un taux d'infection de 1 %, cela correspondrait à 10 000 décès pour les États-Unis. Ce chiffre est certainement impressionnant, mais il resterait cependant caché dans le bruit de l'estimation des décès dus aux infections virales respiratoires (IVR) saisonnières habituelles."
"Pensez en profondeur, faites de la bonne science et ne paniquez pas !" Quelques considérations sur la crise du coronavirus (Off Guardian)

De plus le nombre de cas positifs du coronavirus augmente proportionnellement au nombre de tests ce qui ne va pas dans le sens d'une épidémie mais bel et bien d'une épidémie de tests :
"Les virus du rhume présentent un niveau de contagiosité élevé, dû entre autres au fait qu'une grande majorité de leurs infections, estimées entre 80 et 99,5 %, ne sont pas ou peu symptomatiques. Comme environ 20 à 40 % de la population contracte une infection virale respiratoire (IVR) en hiver, nous sommes amenés à conclure qu'une très grande partie de la population doit abriter des virus du rhume commun, dont la souche coronavirus du SRAS-CoV-2. Confirmant cette ligne de pensée, Gupta et ses collègues [9] de l'université d'Oxford ont élaboré un modèle suggérant qu'une grande partie de la population a déjà été infectée par le virus du SRAS-CoV-2, en passant par une infection légère ou asymptomatique. Le fait de tester sa présence dans la population ne fait que confirmer cette réalité, et le nombre (évidemment !) croissant de tests positifs ne doit en aucun cas être interprété comme le signe d'une propagation inhabituelle du virus. Cette interprétation est l'un des deux principaux facteurs d'activation de la panique à l'origine de l'actuelle vague de panique mondiale. Le seul aspect utile d'une augmentation progressive des tests sur l'ensemble de la population serait de faire baisser le taux de mortalité en incluant des formes d'infection plus bénignes (rhinite, toux, absence de fièvre) ou asymptomatiques".- "Pensez en profondeur, faites de la bonne science et ne paniquez pas !" Quelques considérations sur la crise du coronavirus (Off Guardian)

L'OMS semble avoir un agenda politique soutenu par les gouvernements et les médias de masse qui n'a rien à voir avec la réalité de l'épidémie de coronavirus. Cet agenda n'est pas lié à sa direction mais à ceux qui l'instrumentalisent avec Big Pharma dans les coulisses comme en 2009 lors de la fausse pandémie de grippe H1N1 qui avait vu le Tamiflu se vendre comme des petits pains et des gouvernements commander des ~~milliards~~ centaines de millions de dose de vaccins à Big Pharma. L'OMS avait à cette fin, en 2009, modifier les critères d'une pandémie pour que la grippe H1N1 soit considérée comme une pandémie : "En mai 2009 l'OMS supprime 2 points essentiels dans la définition de la pandémie. Auparavant elle supposait un nombre élevé de décès et de malades dans plusieurs Etats. Ce n'est plus le cas. Aujourd'hui (en 2009, ndlr) il suffit pour décréter une pandémie d'une transmission durable et accrue du virus dans au moins 2 des 6 régions de l'OMS".(A 5'45'' sur la vidéo ci-dessous)
- [Vidéos] Les profiteurs de la peur - la commercialisation de vaccins avec des pandémies fictives (ARTE)

LA GRIPPE A - UN VIRUS QUI FAIT DEBAT 1/7

Em 2020, avec la crise du Covid19 on pourrait voir resurgir le même procédé. Et le match Tamiflu/Vaccin pourrait être remplacé par un match Chloroquine/vaccins pour un simple rhume qui parfois entraîne des infections respiratoires sévères comme les années précédentes.
- Trump/Fauci, chloroquine/vaccin, un match de dupes et un marché pour Big Pharma (Vidéos)

Les gouvernements occidentaux soutiennent ouvertement la méthode de confinement pour une "menace fantôme" construite.
- Coronavirus et confinement. Déclarations du Pr Sucharit Bhakdi, microbiologiste célèbre : "Toutes ces mesures conduisent à l'autodestruction et au suicide collectif basé sur rien d'autre qu'un fantôme" (Vidéo)

Le professeur de médecine, Jay Bhattacharya, de Stanford, USA, considère lui aussi que cette épidémie est largement surestimée.

Nous n'irons pas aussi loin que Barnett qui concidère dans Lewrockwell que cette fraude virale pourrait être une expérience meurtrière pour le contrôle de la population en se posant la question d'une politique d'eugénisme : " Il semble maintenant que l'un des objectifs sous-jacents de cette frayeur virale soit d'éliminer délibérément les plus faibles d'entre nous, tout en utilisant ce virus manufacturé comme couverture pour une sorte de contrôle eugénique de la population. Les handicapés, les malades et les personnes âgées sont particulièrement vulnérables à l'isolement et à l'élimination des soins médicaux inhérents au soi-disant remède du gouvernement contre le rhume. Cela sonnera le glas d'un secteur particulier de la société. Lorsque ce projet de prise de contrôle du pays par le gouvernement aura atteint sa phase initiale, le nombre de morts résultant de cette réponse créée à dessein sera extrême, et les très nombreuses victimes ne seront pas mortes d'un quelconque virus, mais à cause des politiques meurtrières du gouvernement."

Toutefois nous considérons que ces mesures de confinement sont criminelles et auront un effet dévastateur pour les personnes âgées à domicile de par leur sédentarisation et leur isolement mais aussi pour les plus jeunes et pour la société dans son ensemble qui va être confrontée au chômage et à une grave crise économique destructrice et génératrice de troubles physiques et psychiques toutes tranches d'âges confondues.

Nous considérons à l'instar du Professeur Püschel, médecin légiste que "ce virus influence notre vie de manière totalement excessive, cette influence étant disproportionnée par rapport au danger que représente le virus. Et les dommages économiques astronomiques qui sont actuellement causés ne sont pas proportionnels au danger posé par le virus" ou bien du Pr. Ioannidis de Stanford aux Etats-Unis
que nous allons tout droit vers un gigantesque fiasco"sans disposer de données fiables"

De plus, comme le déclare Snowden "la destruction des droits fondamentaux est mortelle et permanente!". Le 2 avril, le Parlement danois a adopté une loi interdisant la publication d'informations non conformes aux directives du gouvernement et permettant la suppression de sites web et l'emprisonnement des auteurs. Et « Il faut redouter un basculement culturel en faveur d’une surveillance massive de nos comportements hors ligne ». Comme l'écrit Off Guardian, les mesures d'urgence pourraient se prolonger bien au-delà de deux ans. Si les citoyens ne réagissent pas à temps, ils pourraient se retrouver piégés dans une dictature sanitaire et un Etat policier dont une grande partie des médecins seraient les petits soldats du complexe militaro-industriel et financier dans un nouvel ordre mondial nous privant de nos libertés individuelles et collectives sur le modèle de la dictature socialiste chinoise mais cette fois-ci dans une organisation où les intérêts néolibéraux capitalistiques des multinationales seraient le moteur des régimes occidentaux. Gare à la casse culturelle, sociale, économique, psychologique et sanitaire ! Des citoyens ont commencé à demander des comptes à leurs gouvernements. Plusieurs cabinets d'avocats allemands préparent des procès contre les mesures de confinement de l'Etat allemand "car les chiffres et les statistiques disponibles montrent que l'infection au coronavirus est inoffensive pour plus de 95 % de la population et ne représente donc pas un danger grave pour la population"
- Face au confinement, des avocats en appellent à la cour constitutionnelle fédérale pour lutter contre "la création d'un Etat policier dictatorial"

A suivre...

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