La résistance héroïque de RFK Jr au coup d'état continu de la Covid de la CIA : une réflexion (Off Guardian)

La résistance héroïque de RFK Jr au coup d'état continu de la Covid de la CIA : une méditation
Article originel : RFK Jr’s Heroic Resistance to the CIA’s Continuing Covid Coup D’état A Meditation
Par Edward Curtin*
Off Guardian, 12.12.21

Avec son extraordinaire nouveau livre, The Real Fauci : Bill Gates, Big Pharma, and the Global War on Democracy and Public Health, RFK Jr. a fait savoir très clairement qu'il ne laissera pas la botte totalitaire du 1984 d'Orwell s'écraser sur son visage.
 

Il fait preuve d'un courage moral très rare et nous demande de le rejoindre, avant qu'il ne soit trop tard et que nous n'entrions dans une nouvelle ère sombre, en reconnaissant et en résistant aux forces du mal qui ont l'intention d'éradiquer la démocratie dans le monde.

Il ne mâche pas ses mots lorsqu'il accuse les conspirateurs de la politique, du renseignement, des médias, de l'argent, de la médecine, des entreprises et de la pharmacie d'exécuter "la démolition contrôlée de la démocratie constitutionnelle étatsunienne".

Pour un avocat brillant et très accompli, excellent écrivain et orateur, le choix de ces mots "démolition contrôlée" est clairement intentionnel.

Pour quiconque doute que la crise de la Covid-19 est une opération dirigée par les services de renseignement et contrôlée par des barbouzes travaillant avec des technocrates médicaux comme Anthony Fauci, des milliardaires comme Bill Gates, l'armée des médias, Big Pharma, le Forum économique mondial, etc., une lecture attentive de ce livre - avec ses 2 194 références - le détrompera.
 

La CIA est depuis longtemps profondément impliquée dans les vaccins, les virus, les médicaments, la militarisation du cancer, les armes biologiques et, bien sûr, les opérations massives de contrôle de l'esprit - une propagande mortelle en clair - destinées à contrôler les Etatsuniens et les étrangers.

Comme l'écrit Kennedy d'une manière ironiquement discrète, "L'implication omniprésente de la CIA dans le putsch mondial des vaccins devrait nous faire réfléchir."  Oui, une longue pause. Il poursuit [c'est moi qui souligne] :

    "Il n'y a rien dans l'histoire de la CIA, dans sa charte, dans sa composition ou dans sa culture institutionnelle qui trahisse un intérêt pour la promotion de la santé publique ou de la démocratie. Les préoccupations historiques de la CIA ont été le pouvoir et le contrôle. La CIA a été impliquée dans au moins soixante-douze tentatives et succès de coup d'État entre 1947 et 1989, impliquant environ un tiers des gouvernements du monde. Beaucoup d'entre eux étaient des démocraties qui fonctionnaient. La CIA ne s'occupe pas de santé publique. Elle ne s'occupe pas de démocratie. La CIA fait des coups d'état."
 

Tout comme elle fait des assassinats de Kennedy.

La diabolisation et l'assassinat du personnage social de Robert F. Kennedy Jr. est ce que la CIA et ses porte-paroles médiatiques font depuis des années. Cela est devenu de plus en plus nécessaire à mesure qu'ils ont réalisé le grand danger croissant qu'il représente pour leur programme.

Le traiter d'anti-vaccin, de théoricien de la conspiration et d'autres noms bien pires encore fait partie d'une campagne de diffamation concertée visant à détourner le public de son message, qui comporte de multiples facettes et s'appuie sur des recherches approfondies et une logique impeccable.

À l'instar de son père et de son oncle, il est devenu un opposant d'une éloquence irrépressible aux forces démoniaques qui veulent détruire le rêve démocratique.
 

Avec The Real Fauci : Bill Gates, Big Pharma, et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique, il a épinglé sa condamnation de ces forces sur le mur du monde pour que tout le monde puisse la lire.

De même que ce nouveau livre ne fera pas l'objet d'une critique de la part des grands médias, pas même d'une critique négative de peur de le promouvoir, de même le dernier livre qu'il a écrit, American Values : Lessons I Learned from My Family, a été complètement ignoré par ces médias.
 

Comme je l'ai écrit il y a trois ans dans la seule critique de ce livre :

    "Quand un livre aussi fascinant, véridique, magnifiquement écrit et politiquement significatif que American Values : Lessons I Learned from My Family, écrit par un auteur très connu du nom de Robert F. Kennedy, Jr. et publié par une maison d'édition de premier plan (HarperCollins), est boycotté par les critiques de livres traditionnels, vous savez que c'est un livre important et qu'il a touché un nerf que les médias corporatifs traditionnels souhaitent anesthésier en l'évitant."
 

American Values est à la fois un mémoire, une histoire de famille, une analyse politique astucieuse et une confession, et est tour à tour délicieux, triste, drôle, féroce et effrayant dans ses implications.

Quelles implications ?

C'est le cœur de ce livre qui a poussé les critiques obéissants à l'éviter comme la peste, une peste introduite par un petit oiseau moqueur, comme dans Operation Mockingbird.  Aucun membre de la famille Kennedy depuis JFK ou RFK n'avait osé dire ce que RFK, Jr. a fait dans ce livre.

Il a mis en accusation la CIA, d'une manière soigneusement élaborée et entièrement factuelle, pour une vaste gamme de crimes. Il a expliqué en détail la longue guerre entre les Kennedy et la CIA qui a entraîné la mort de son père, le sénateur Robert F. Kennedy, et de son oncle, le président John Kennedy.

Il a jeté un gant au milieu du récit d'une saga familiale divertissante et touchante, qui comprenait une critique de ses propres transgressions de jeunesse.

Mais les espions de la nation ont flairé le danger dans ce récit et ils sont maintenant plus conscients qu'ils doivent le censurer parce que son message trouve un public de plus en plus nombreux, malade des mensonges du gouvernement et très avide de vérité.

De plus en plus de personnes sont prêtes à suivre cet homme courageux dans les ténèbres de notre histoire et des coups d'État en cours dans le pays et à l'étranger.  Ils sentent un auteur démoniaque derrière la propagande de la Covid-19.

Alors que le Dr Anthony Fauci est naturellement au centre de ce nouveau livre, et qu'il le mérite pour ses machinations maléfiques depuis tant de décennies, il est important de reconnaître qu'il est un sous-fifre obéissant, bien que très puissant, dans une structure systémique du mal, qui a grandement profité matériellement de la vente de son âme.

Pourtant, même si cela est vrai, la lecture des chapitres de Kennedy sur le rôle prépondérant de Fauci dans la fraude du VIH/SIDA, l'extorsion de l'AZT, les expériences illégales sur les enfants qui ont tué au moins 85 personnes, etc. est suffisante pour faire bouillir votre sang et pour réaliser que de telles actions doivent provenir d'une source bien plus profonde que la soif de lucre.

Quelque chose de diabolique et de sinistre est à l'œuvre dans tout cela, avec la souffrance et la mort qu'il a causées, et dans la manière dont il a préfiguré la propagande de la COVID-19 et la complicité des médias de masse qui ont servi de couverture à Fauci et à ses alliés, hier et aujourd'hui.
 

Kennedy détaille de manière exhaustive le travail de Fauci en tant que trafiquant de médicaments pour Big Pharma, alors même que son travail au NIAID est de protéger et d'améliorer la santé de la population, qui s'est détériorée de manière spectaculaire au cours de son mandat.  (Il est important de mentionner, entre parenthèses mais pas du tout par hasard, que la CIA "gère" la soi-disant guerre de la drogue de manière similaire).

Ainsi, nous avons une guerre des médicaments et une "guerre contre les médicaments" fonctionnant en tandem dans un schéma parfait pour droguer autant de personnes que possible. Voici quelques détails :

• Fauci dispose d'un budget annuel de 6 milliards de dollars, dont la majeure partie est consacrée à la recherche et au développement de nouveaux médicaments.
• Il est l'employé fédéral le mieux payé, plus que le Président, avec un salaire annuel de 417 608 $.
• Il contrôle 57 % du financement mondial de la médecine biomédicale, directement et indirectement par le biais des NIH, de la Fondation Bill et Melinda Gates et du Wellcome Trust, et contrôle donc les scientifiques à la recherche de fonds pour la recherche.
• Pendant des décennies, il a supervisé la capture réglementaire des agences de santé gouvernementales par Big Pharma.
• Les CDC, une organisation paramilitaire, dépense 4,9 milliards de dollars sur son budget de 12 milliards de dollars pour acheter et distribuer des vaccins, les vaccins que Fauci a mis en avant. Il possède également 57 brevets de vaccins.
• Fauci et d'autres fonctionnaires reçoivent des émoluments annuels allant jusqu'à 150 000 dollars en redevances sur les produits qu'ils contribuent à développer et à faire passer dans le processus d'approbation.
• Depuis de nombreuses années, il fait la promotion de fausses pandémies afin de promouvoir les nouveaux vaccins, les nouveaux médicaments et les profits des sociétés pharmaceutiques.
• Quarante-cinq pour cent du budget de la FDA provient de l'industrie pharmaceutique par le biais de ce que l'on appelle par euphémisme les "frais d'utilisation".
• Fauci a une "étrange fascination pour" et a investi dans des expériences de "gain de fonction" pour créer des superbactéries, ce qui s'inscrit dans la longue histoire de la CIA en matière d'armement des virus, etc.

L'exposition détaillée du rôle de Fauci par RFK Jr me rappelle la lecture de Moby Dick et la méditation sur la description d'Achab par Melville - il faut entrer dans un espace mental différent pour commencer à comprendre un tel mal, et même alors, on est frappé par son ampleur et la complicité des médias qui l'ont couvert pendant si longtemps.

Lorsque j'utilise le mot "mal", je ne l'emploie pas à la légère, mais très précisément, car les actions de Fauci et de ses semblables sont maléfiques, même si l'être humain Anthony Fauci est encore capable de contrition et de rédemption. Tout est possible, sinon probable, mais je ne retiens pas mon souffle.

Tout comme les personnes qui ont tué JFK, RFK, MLK Jr, et al. étaient des serviteurs obéissants du système qui les a produits - écoutez Only A Pawn in Their Game de Bob Dylan - Fauci est un produit d'un système structurel du mal.

Il ne s'agit pas de l'excuser mais de placer ses actions dans un contexte historique et structurel.

De toute évidence, il n'est pas un pauvre homme blanc du Sud sans instruction utilisé par le KKK comme dans la chanson de Dylan, mais un New-Yorkais sophistiqué et éduqué par les Jésuites, amené à la conscience politique dans un système qui récompense amplement l'obéissance aux autorités.  Il est diplômé du même lycée jésuite que moi, l'élite Regis High School à New York (puis le Jesuit College of the Holy Cross), et est considéré par nombre de mes camarades de classe comme un héros national à la limite du saint.

Cette scolarité m'a fait prendre conscience de la façon dont le système engloutit ses jeunes avec des promesses de richesse et de prestige s'ils associent leur acuité intellectuelle à l'allégeance aux règles du jeu et deviennent ce que Hannah Arendt appelait des "schreibtischtäter" - des tueurs de bureau, ou ce que le grand poète étatsunien Kenneth Rexroth appelait des hyènes aux visages polis dans les bureaux de sociétés de plusieurs milliards de dollars vouées au "service".
 

Le fait qu'une telle socialisation soit présentée comme étant "un homme pour les autres" dans la tradition jésuite de contrôle de l'esprit, double son efficacité en tant que jeu de confiance. C'est pourquoi tant de jeunes gens décents succombent à cet appel des sirènes.  Mais il faut alors faire taire sa mauvaise conscience.

Jean Paul Sartre appelait cela la mauvaise foi, une forme de tromperie mentale qui consiste à essayer de se "mentir" à soi-même - ce qui est impossible puisque le menteur et le menteur sont la même personne -, ce qui signifie que le trompeur doit réellement connaître la vérité qu'il tente de dissimuler au trompé.

Cette forme de conscience divisée permet à ceux qui servent un système rapace de tenter de se tromper eux-mêmes et de tromper les autres en leur faisant croire qu'ils servent une cause juste. De telles tentatives exigent l'habileté d'un acteur et la maîtrise de sa voix intérieure.

Mais il y a beaucoup d'acteurs parmi nous, comme le disait Nietzsche, pas des acteurs authentiques, mais des mauvais acteurs.  Fauci, Gates et autres sont de mauvais acteurs dans un film de propagande, du moins pour ceux qui savent comment la propagande est produite et comment les mauvais acteurs sont exposés.  Robert Kennedy est un critique avisé de ce genre.
 

Mon but ici n'est pas d'entrer dans les détails des connexions de Fauci et Gates avec les industries étatsuniennes du renseignement et de la défense, car il s'agit d'une méditation et non d'une critique.  Mais ces liens sont énormes.  Lisez la conclusion du chapitre 12 de The Real Fauci : Bill Gates, Big Pharma, and the Global War on Democracy and Public Health.

Vérifiez ses sources, 298 pour ce seul chapitre.  Il ne s'agit pas de spéculation ou de théorie, mais de faits.  Faites vos devoirs.  Étudiez. Kennedy écrit :

    "Après vingt ans [depuis les attaques à l'anthrax perpétrées par des initiés après le 11 septembre 2001 : voir l'ouvrage de Graeme MacQueen, The 2001 Anthrax Deception (isbn.nu)] d'exercices de modélisation, la CIA - travaillant avec des technologistes médicaux comme Anthony Fauci et des magnats de l'Internet milliardaires - avait réussi le coup d'État ultime : quelque 250 ans après la révolte historique des Etats-Unis contre l'oligarchie enracinée et le pouvoir autoritaire, l'expérience étatsunienne de l'autonomie était terminée. L'oligarchie était restaurée, et ces gentlemen et leurs maîtres espions avaient équipé la technocratie montante de nouveaux outils de contrôle inimaginables pour le roi George ou tout autre tyran."
 

Pourtant, le combat est loin d'être terminé, et ceux qui possèdent les outils et les mentalités mécanistes et matérielles doivent faire face à une marée montante d'opposition à leurs plans pour la "Grande Réinitialisation" et un monde transhumain.

Nous sommes peut-être dans la dernière bataille de cette guerre, mais l'esprit humain est plus fort que ceux qui veulent éradiquer la liberté humaine.  Robert Kennedy Jr. mène le combat pour l'âme du monde, et c'est un combat à la fois politique et spirituel.

Il n'est pas nécessaire d'être très intelligent pour comprendre que lorsque des pays du monde entier agissent de manière synchronisée en enfermant leurs populations et en répétant le même message sur commande, ces événements sont coordonnés de manière centrale.

L'ensemble de la campagne de propagande de la COVID-19, qui culmine avec la volonté d'imposer de multiples vaccins qui n'en sont pas et qui sont basés sur des tests PCR frauduleux, a été préparé de longue date et les empreintes digitales des agences de renseignement sont partout dans sa planification.

Scénarios de jeux de guerre, vaccins armés, la CIA, les NIH, Gates, Fauci, le NIAID, la DARPA, le magazine Wired, les élites financières et leurs centres de pouvoir comme le Forum économique mondial, etc. - ils sont tous impliqués dans une conspiration visant à imposer une tyrannie mondiale rigide sur les gens ordinaires au profit des super-riches du monde.

Depuis les confinements coordonnés de Fauci au début de 2020, il y a eu un transfert de richesse de 3,8 trillions de dollars vers les super-riches, créant 500 nouveaux milliardaires, tout en pulvérisant la classe moyenne, en détruisant les petites entreprises, en enrichissant Fauci et ses partenaires de l'industrie pharmaceutique et des barons voleurs, et en causant de vastes souffrances et la mort dans le monde entier.

Rien de tout cela n'est accidentel. Kennedy documente tout cela.  Il écrit :
 

Dark Winter, Atlantic Storm, et Global Mercury n'étaient que trois des plus d'une douzaine de Germ Games mis en scène par les militaires, les médecins et les planificateurs du renseignement avant la COVID-19. Chacun de ces exercices kafkaïens est devenu le prédicteur étrange d'une ère dystopique que les planificateurs de la pandémie ont surnommée la "nouvelle normalité".

La caractéristique constante est une affinité entre les concepteurs des simulateurs pour la militarisation de la médecine et l'introduction d'une gouvernance autocratique centralisée.

Chaque répétition se termine par la même conclusion sinistre : la pandémie mondiale est une excuse pour justifier l'imposition de la tyrannie et la vaccination forcée.

La répétition de ces exercices suggère qu'ils servent en quelque sorte de répétition ou d'exercice d'entraînement pour un programme sous-jacent visant à coordonner le démantèlement mondial de la gouvernance démocratique...

...Pratiquement tous les scénarios de planification des pandémies reposent sur des hypothèses techniques et des stratégies familières à quiconque a lu les célèbres manuels de guerre psychologique de la CIA, qui visent à briser les sociétés indigènes, à anéantir l'économie et les liens sociaux traditionnels, à utiliser l'isolement imposé et la démolition des économies traditionnelles pour écraser la résistance, à favoriser le chaos, la démoralisation, la dépendance et la peur, et à imposer une gouvernance centralisée et autocratique.
 

Les agences de renseignement étatsuniennes et étrangères ont dominé le projet militaire COVID-19 depuis le début.  La CIA et Fauci sont au cœur de la "théorie du complot" officielle - appelée avec précision "fait" - y compris l'"opération Warp Speed" sous Trump.

Trump a simplement poursuivi le travail de ses prédécesseurs, y compris Obama, mais a agi comme s'il s'y opposait.  Cela a toujours été un programme bipartisan parce que la CIA dirige les deux partis.
 

Lorsqu'il était en prison en Allemagne après être revenu en 1939 de l'Union Theological Seminary à New York pour s'opposer à Hitler, le théologien allemand Dietrich Bonhoeffer a écrit ce qui suit depuis sa cellule de prison avant d'être exécuté :

    "Contre la stupidité, nous n'avons aucune défense. Ni les protestations ni la force ne peuvent la toucher. Le raisonnement n'est d'aucune utilité. Les faits qui contredisent les préjugés personnels peuvent tout simplement être ignorés - en fait, le fou peut riposter en les critiquant, et s'ils sont indéniables, ils peuvent simplement être mis de côté comme des exceptions insignifiantes. Ainsi, le fou, à la différence de la canaille, est complètement satisfait de lui-même. En fait, ils peuvent facilement devenir dangereux, car il suffit de peu de choses pour les rendre agressifs. C'est pourquoi il convient d'être plus prudent qu'avec un malin. Jamais plus nous n'essaierons de persuader la personne stupide avec des raisons, car c'est insensé et dangereux."
 

Par stupide, il n'entend pas que ces personnes manquent de capacités intellectuelles, car elles sont souvent très intelligentes, mais qu'elles sont tombées sous le charme du pouvoir public et ont perdu toute indépendance d'esprit.

C'est ainsi qu'il ajoute : "Il est envoûté, aveuglé, maltraité, abusé dans son être même. Étant ainsi devenu un outil sans esprit, la personne stupide sera également capable de tout mal et en même temps incapable de voir que c'est un mal."
 

Robert Francis Kennedy, Jr. essaie toujours d'atteindre ces personnes.  C'est une tâche héroïque.  Il n'est pas étonnant que Kennedy porte le nom de Saint François, auquel il est dévoué ; Saint François lui a enseigné, ainsi qu'à nous, que le courage et le sacrifice sont ce que Dieu demande de nous tous.
 

L'une des citations préférées de son père définit également le fils ; elle est d'Edith Hamilton, l'auteur de The Greek Way, qui a écrit :

    "Les hommes ne sont pas faits pour les refuges. La plénitude de la vie est dans les risques de la vie... Pour l'héroïque, les circonstances désespérées lancent un défi."
 

Robert Francis Kennedy, Jr. a relevé le défi.  Il est courageux et brillant.  Nous sommes bénis d'avoir son témoignage.

* Edward Curtin est un écrivain indépendant dont les travaux ont été largement diffusés pendant de nombreuses années. Son site Web est edwardcurtin.com et son nouveau livre s'intitule Seeking Truth in a Country of Lies.("Cherchez la vérité dans une mer de mensonges")

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Traduction SLT avec DeepL.com

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