Un nouveau coup bas pour la FDA
Article originel : A New Low for the FDA
TrialSite News, 23.08.21
Aujourd'hui, 23 août 2021, la FDA a approuvé le vaccin contre la COVID19 de Pfizer en dépit des problèmes suivants :
1. Les vaccins sont plus susceptibles de vous tuer que de vous sauver. Les résultats des essais cliniques (recherche médicale de référence) montrent que le vaccin tue plus de personnes qu'il n'en sauve (y compris l'étude randomisée de 6 mois menée par Pfizer elle-même, qui a démontré un taux de mortalité global supérieur de 7 % pour les personnes ayant reçu le vaccin). Le vaccin a réduit de 50 % les décès dus à la COVID, mais au prix d'une augmentation des décès par arrêt cardiaque et d'autres causes, de sorte que le bénéfice net est négatif, c'est-à-dire que le vaccin est plus susceptible de vous tuer que de vous sauver. Par exemple, la propre étude de Pfizer a montré que les décès dus à la COVID ont été réduits d'un facteur 2, mais cette économie a été plus que compensée par les décès dus aux arrêts cardiaques qui ont été multipliés par 4. Ce n'est pas un bon compromis. Les données de sécurité du VAERS comparées aux données des CDC sur la mortalité pour différentes cohortes d'âge confirment également que les vaccins sont plus susceptibles de nuire que d'aider.
2. Aucune autopsie n'a jamais été pratiquée aux États-Unis sur des patients décédés après avoir été vaccinés afin de déterminer si le vaccin a contribué à leur décès. Il est étonnant que 13 068 décès aient été signalés au VAERS sans qu'aucune autopsie n'ait été pratiquée aux États-Unis, et que personne dans le monde universitaire, au Congrès ou dans les médias grand public n'ait demandé d'autopsies. Les autopsies représentent un risque énorme pour eux, car si elles sont pratiquées, les gens se rendront compte à quel point ces vaccins sont dangereux.
3. Les rapports médico-légaux de l'un des meilleurs médecin légiste au monde ont montré qu'au moins 30 % des décès survenus dans les deux semaines suivant la vaccination étaient dus au vaccin. Il a été immédiatement critiqué par des personnes qui n'ont jamais examiné de corps ! ?! Les appels lancés par l'Association fédérale des pathologistes allemands pour exiger l'autopsie des patients vaccinés décédés ont été ignorés par les autorités allemandes. Elles ne veulent pas non plus découvrir la vérité, car lorsque les gens apprendront à quel point les vaccins sont mortels, plus personne ne voudra se faire vacciner.
4. Aucune analyse n'a été faite des événements neurologiques et cardiovasculaires manifestement élevés dans le système VAERS (voir le tableau ci-dessous). Comment un vaccin sûr peut-il faire monter en flèche tous ces événements par rapport aux années précédentes ?
5. Une formule défectueuse de détection des signaux d'événements indésirables empêche les CDC de détecter les signaux de sécurité qui l'alerteraient d'un problème avec les vaccins. Les CDC ne veulent pas nous rencontrer pour discuter de cette grave erreur. Ils n'ont aucun intérêt à voir des signaux de sécurité, et le maintien d'un système manifestement défectueux leur donne toute latitude pour nier la réalité.
6. Un mépris insensible pour la santé de nos enfants. Il y a 18 décès dans le VAERS pour des enfants entre 12 et 17 ans. Cinq de ces décès sont dus à un arrêt cardiaque et aucun n'est dû au cancer. Pourtant, les CDC affirment que les décès par cancer sont deux fois plus probables que les décès par maladie cardiaque chez les adolescents. Le vaccin tue donc clairement nos enfants en augmentant le nombre d'arrêts cardiaques bien au-delà de la normale. Ignorer ce fait est tragique. Cet article britannique souligne qu'un seul enfant sur 1,7 million est décédé à cause de la Covid-19 en 18 mois, tandis qu'un enfant sur 9 a subi une réaction indésirable grave au vaccin Pfizer lors de l'essai clinique court et de petite envergure, qui l'a rendu incapable d'effectuer ses activités quotidiennes. Les mères devraient être absolument furieuses que ces données leur soient cachées.
7. Refus d'écouter les experts scientifiquement qualifiés du VAERS qui avaient des analyses montrant que les vaccins étaient extrêmement dangereux, y compris des analyses de causalité entre la dose 1 et la dose 2 qui montraient clairement que les vaccins provoquaient des effets indésirables importants. La dépendance à la dose est un signe très clair de causalité, mais la FDA et les CDC refusent d'examiner les données.
8- L'absence d'enquête sur les fraudes commises lors d'essais cliniques, comme celle de Maddie de Garay, 12 ans, paralysée lors de l'essai clinique de Pfizer, malgré les assurances données par le chef de la FDA que cette affaire ferait l'objet d'une enquête. L'essai clinique de Pfizer a signalé que l'événement indésirable de Maddie était une douleur abdominale, sans mentionner ses graves problèmes neurologiques.
9. Le nombre de décès aux États-Unis, estimé à 150 000, peut être calculé de 5 façons différentes (et la FDA et les CDC n'ont voulu en examiner aucune).
10. L'absence de données de sécurité sur le péché antigénique original, c'est-à-dire la suppression des épitopes liés et les ADE (aggravation de la maladie due aux anticorps, NdT). En bref, ces vaccins peuvent aggraver la maladie, et non l'améliorer, et la FDA sait que ces deux risques existent, mais elle n'attend pas les données pour le savoir. En outre, il n'y a jamais eu d'étude de sécurité appropriée mesurant la quantité, la durée et la distribution de la protéine de pointe cytotoxique chez les primates non humains.
11. Il existe une alternative plus sûre et plus efficace : le traitement précoce. Les protocoles de traitement précoce, tels que le protocole Fareed-Tyson, présentent une réduction du risque relatif de plus de 99 %, fonctionnent pour tous les variants et ont des effets secondaires négligeables, ce qui les rend plus sûrs et plus efficaces.
12. Trop de questions ouvertes sur le vaccin qui doivent encore trouver une réponse. L'excellente tribune de Peter Doshi dans le BMJ (British Medical Journal) souligne que la liste des préoccupations est maintenant encore plus longue qu'auparavant, et le fait que la FDA n'ait pas demandé l'avis du comité consultatif comme elle avait promis de le faire, est extrêmement troublant pour un médicament qui est maintenant obligatoire.
13. Le recours à la censure, plutôt qu'à un débat public ouvert, pour aider le public à découvrir la vérité sur ces vaccins. Nous avons 16 experts qui couvrent tous les aspects de la COVID. Personne au monde dans le milieu universitaire ou dans une agence gouvernementale ne veut s'engager publiquement avec nous sur tout sujet lié à la sécurité des vaccins. Au lieu de cela, ils nous censurent. De quoi ont-ils tous peur ?
Nous utilisons essentiellement les gens du monde entier comme cobayes dans le plus grand essai clinique scientifique jamais réalisé, un essai sans "condition d'arrêt" en raison du nombre de décès causés par les vaccins. Aucun IRB ne permettrait à un essai clinique d'exister sans une condition d'arrêt des décès. Ce qui est encore plus étonnant, c'est que pas un seul membre de l'establishment médical n'a de problème avec l'absence de condition d'arrêt lié aux décès concernant ces vaccins. Nous nous souvenons qu'en 1976, le vaccin contre le H1N1 a été arrêté après seulement 35 décès. Aujourd'hui, en 2021, 150 000 décès causés par ces vaccins ne sont même pas assez importants pour être remarqués.
Cependant, la FDA ne doit pas se voir décerner tout le mérite. Un certain nombre d'autres groupes ont contribué à cette "réalisation" remarquable :
1. Les membres de l'ACIP des CDC, chargés du contrôle de la sécurité, ont refusé d'écouter toute preuve qu'il pourrait y avoir un problème de sécurité avec les vaccins ou un problème avec leur algorithme de contrôle des signaux de sécurité.
2. Le corps médical universitaire qui a refusé d'exiger des autopsies sur les personnes décédées dans les deux semaines suivant la vaccination, qui a refusé d'exiger une condition d'arrêt lié à la mort pour l'autorisation d'utilisation d'urgence de ces vaccins, qui a refusé d'examiner les données du VAERS et qui a refusé de débattre ouvertement de toute personne ayant des opinions divergentes (comme notre équipe). L'équipe de Stanford qui a écouté nos préoccupations a déclaré qu'elle ne pouvait pas contester ce que nous disions mais que cela n'avait pas d'importance car la décision de rendre obligatoire la vaccination des étudiants était prise à un niveau supérieur.
3. Les revues médicales qui ont refusé de publier des articles qui allaient à l'encontre du discours, même après l'examen par les pairs et l'acceptation des épreuves.
4. Les médias grand public qui ont ignoré les victimes des vaccins, dont Maddie de Garay, alors qu'il s'agissait clairement d'une fraude dans les essais cliniques. Ils ont refusé de donner la parole à des personnes qualifiées telles que Robert Malone et Peter McCullough.
5. Les réseaux sociaux, y compris YouTube, Facebook et Twitter, ont fait un travail merveilleux en censurant toute personne ayant des opinions différentes de celles des CDC, de l'OMS et du gouvernement étatsunien. Par exemple, lorsque les membres du groupe Facebook sur les effets secondaires des vaccins ont commencé à signaler que les sociétés pharmaceutiques rendaient difficile, voire impossible, le signalement des effets indésirables lors des essais cliniques de phase 3, Facebook a supprimé les groupes afin que toutes les preuves de fraude lors des essais cliniques soient dissimulées et que les victimes des vaccins ne découvrent jamais que des centaines de milliers d'autres personnes avaient été handicapées par les vaccins.
6. Les membres du Congrès et leur personnel qui ont refusé d'écouter sérieusement les électeurs qui ont soulevé des problèmes légitimes de sécurité liés aux vaccins et étayés par des données primaires. Plutôt que d'expliquer comment les preuves présentées pouvaient être compatibles avec un vaccin sûr, les membres et leur personnel ont simplement dit à leurs électeurs qu'ils avaient tort et ont refusé de lire les preuves qui leur étaient présentées.
Aujourd'hui, tous ces groupes sont fiers de ce qu'ils ont accompli : un effort coordonné pour supprimer les preuves scientifiques légitimes et la dissidence par la censure et l'intimidation et pour approuver un vaccin qui a causé d'énormes décès et handicaps aux Etats-Unis et pour lequel il n'existe aucune preuve scientifique d'un bénéfice en termes de mortalité toutes causes confondues.
C'est un triste jour pour les Etats-Unis
Nous saluons les scientifiques et les médecins qui n'ont pas peur de s'exprimer comme le Dr Robert Malone, le Dr Peter McCullough, le Dr Geert Vanden Bossche, le Dr Sucharit Bhakdi, le Dr Bret Weinstein, le Dr Byram Bridle, le Dr Chris Martenson, le Dr Ryan Cole, le Dr. Charles Hoffe, Dr Francis Christian, Dr Sin Hang Lee, Dr Jessica Rose, Dr Tess Lawrie, ainsi que des journalistes courageux comme Del Bigtree, Joe Rogan, et l'ancien journaliste du NY Times Alex Berenson, et d'autres qui sont les vrais porteurs de la vérité ici.
Les Etats-Unis devraient écouter et soutenir toutes ces personnes, et non les ignorer.
Enfin, voici un tableau des événements indésirables élevés qui a été extrait du système VAERS. Tout le monde peut reproduire ce tableau. La méthodologie est décrite à partir de la page 41 de ce document. Il ne s'agit pas d'une liste complète. Ce que ce tableau montre, c'est qu'il s'agit du vaccin le plus mortel jamais produit dans les temps modernes. Tous les symptômes cardiaques et neurologiques que nous avons examinés étaient élevés. Ces événements sont cohérents avec le mécanisme d'action des vaccins (provoquant la production d'une protéine de pointe cytotoxique à l'intérieur de tous les organes). Aucun vaccin de ces dernières années n'a eu un impact aussi large que ces vaccins.
Grâce à la FDA et à d'autres, nous allons maintenant rendre obligatoires ces vaccins très mortels pour tous nos enfants.
Dans ce tableau, les chiffres de la colonne de droite indiquent le facteur d'élévation du symptôme par rapport à la "normale". Ainsi, 473 signifie 473 fois plus élevé que le taux de déclaration annuel moyen du VAERS au cours des cinq dernières années (de 2015 à 2019 pour les personnes âgées de 20 à 60 ans).
Symptôme et Taux d'incidence élevé par rapport à la normale (facteur de multiplication)
Embolie pulmonaire 473
Accident vasculaire cérébral 326
Thrombose veineuse profonde 264,3
Thrombose 250,5
Augmentation du dimère D de la fibrine 220,8
Appendicite 145,5
Acouphènes 97,3
Arrêt cardiaque 75
Décès 58,1
Maladie de Parkinson 55
Lenteur de la parole 54,3
Aphasie (incapacité à parler) 52,3
Fatigue 50,9
Épanchement péricardique 50,5
Maux de tête 46,4
Frissons 45,6
Péricardite 44,9
Surdité 44,7
Myocardite 43,2
Hémorragie intracrânienne 42,5
Avortement spontané 41,3
Toux 38,5
Paralysie de Bell 36,6
Paresthésie 29,5
Cécité 29,1
Dyspnée (difficulté à respirer) 28.4
Myalgie 28,4
Dysstasie (difficulté à se tenir debout) 27,8
Crise d'épilepsie 27
Réaction anaphylactique 21
Suicide 18,3
Trouble de la parole 17,2
Convulsion 16,3
Purpura thrombotique thrombocytopénique (PTT) 16,3
Paralysie 16
Gonflement 14,3
Diarrhée 11,9
Neuropathie 11,2
Syndrome de dysfonctionnement d'organes multiples 11,1
Dépression 8,9
Traduction SLT avec DeepL.com
***
Pour toute question ou remarque merci de nous contacter à l'adresse mail suivante : samlatouch@protonmail.com.
Pour savoir pourquoi nous avons dû changer d'e-mail : cliquez ici.
----