L’arrivée du premier ministre démissionnaire du Liban est un succès pour la diplomatie de Macron, mais les problèmes posés par la démission surprise d’Hariri ne vont pas tarder à ressurgir.
L’avenir politique de Saad Hariri et sa capacité ou non à récupérer son siège de premier ministre, inconnue majeure de cette nouvelle phase, devaient figurer au menu des discussions. Vendredi, en marge d’un sommet européen à Göteborg, en Suède, Emmanuel Macron a déclaré que le chef du Courant du futur avait vocation à rentrer dans son pays « dans les jours, les semaines qui viennent ».
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