Tout ce que vous devez savoir sur le variant « Eris » de la COVID-19 (Off Guardian)

Tout ce que vous devez savoir sur le variant « Eris » de la COVID-19
Article originel :  Everything you need to know about Covid’s “Eris” Variant
Par Kit Knightly
Off Guardian, 18,08,23

La grande nouvelle des derniers jours, c’est que la COVID est de retour… encore une fois. Cette fois-ci, c’est le variant « Eris », du nom de la déesse grecque des conflits et de la discorde, qui est censée causer un pic de cas pour la première fois depuis… qui se soucie de combien de temps.
 

La majeure partie des articles à ce sujet détaille comment il est censé être lié à Omicron ou Arcturus ou tous les autres noms qu’ils font clignoter dans les titres.

Ça, ou les symptômes.

C’est un nez qui coule et un mal de gorge et… eh bien, vous savez. La seule chose digne de mention à mentionner ici est que la « perte de goût ou d’odeur », si longtemps vendue comme carte d’appel de la COVID, n’est plus considérée comme un symptôme courant.
 

Yahoo a même signalé – sans la moindre ironie – que la prétendue hausse des « cas » était due au fait que les gens passaient plus de temps à l’intérieur :

    Le mauvais temps encourage les gens à passer plus de temps à l’intérieur et l’immunité décroissante a été mise en cause pour la hausse
 

… une position particulière à considérer, étant donné que le confinement est censé avoir aidé, la dernière fois.

Quoi qu’il en soit, sans plus tarder, voici tout ce que vous devez vraiment savoir sur le variant Eris :
 

Ce sont des sornettes.

Comme toutes les autres.

Il n’y a rien d’autre à dire, n’est-ce pas ?
 

Il est certain que les médias sont en train de nous conditionner, en parlant à nouveau des « symptômes » et du taux d'« infection » comme si les trois dernières années n’avaient pas rendu tous ces mots inutiles. Mais nous sommes – ou devrions être – bien au-delà de ce point d’argumenter contre le courant dominant.

Nous savons tout ce que nous devons savoir sur les symptômes – ils sont « généralement bénins » et « grippaux », car la COVID-19 n’est rien d’autre qu'une maladie respiratoire endémique. Nous savons que les statistiques sur les décès sont faites et que les tests ne fonctionnent que pour fabriquer des cas.

Nous savons tout cela, même cette répétition est inutile, pour être honnête.

Le seul aspect d’Eris qui mérite d’être discuté est pourquoi il est dans les journaux, et même cette réponse est plus brève que d’habitude.

Eris existe parce que la vague de chaleur « Cerberus » est terminée et que le mois de juillet a été exceptionnellement froid et humide au Royaume-Uni. Parce que l’automne va bientôt arriver et il n’y a plus d’événements sportifs majeurs pour Just Stop Oil à perturber pendant un certain temps.

En bref, Eris est ce qui se passe lorsque les gens refusent de paniquer au sujet du changement climatique.

En fait, nous pouvons probablement nous attendre à des titres reliant Eris au climat dans les prochains jours.

Le problème, c’est que, tout comme le changement climatique, les gens ne peuvent être effrayés très longtemps par des mots. Les médias ont répété « réchauffement planétaire » tellement les mots ont perdu leur sens, et ont rempli les journaux avec tant de prédictions apocalyptiques qui n’ont jamais eu lieu que les gens se sont engourdis, ils les filtrent maintenant même s’ils ne réalisent pas qu’ils le font.

La même chose se produira avec la COVID; plus ils la ramènent, moins les gens auront peur.

C’est probablement pourquoi ils jettent les bases de la « prochaine pandémie » de « maladie X ».

Traduction SLT