
Le montant de la semaine dernière est le plus élevé depuis que la BCE a lancé en 2014 son programme dit d'assouplissement quantitatif (QE, quantitative easing) destiné à réduire les coûts de financement et à relancer ainsi l'inflation et la croissance dans la zone euro.
Le bond des achats, qui compense une activité plus faible de la BCE sur le marché en décembre, a été notamment rendu possible par une offre abondante, comme souvent en début d'année, de titres sécurisés, émis par les banques et adossés à des créances hypothécaires ou des créances des collectivités locales.
"Il y a une raison très simple : il y a enfin assez d'obligations sur le marché pour que la BCE se serve", note Günther Scheppler, spécialiste des produits titrisés chez DZ Bank...
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