Vérification des faits : Les nouveaux dangers du Covid-19 dans les reins, le cœur, le cerveau et ailleurs sont de pures spéculations (Wodarg.com)

 Vérification des faits : Les nouveaux dangers du Covid-19 dans les reins, le cœur, le cerveau et ailleurs sont de pures spéculations
Article originel : Faktencheck: Neue Gefahren durch Covid-19 in Nieren, Herz, Gehirn und anderswo sind reine Spekulation
Par Dr Wolfgang Wodarg
Wodarg.com

Le nouveau coronavirus (SARS-CoV-2) n'est pas un virus respiratoire pur. Outre le poumon, on le trouve également dans de nombreux autres organes et systèmes d'organes - par exemple dans le rein, où il est désormais également tenu pour responsable d'autres lésions d'organes dans les infections par COVID-19. C'est vrai, mais cela ne joue un rôle que pour de très rares patients âgés qui sont gravement affaiblis par d'autres maladies.

Depuis que le professeur Püschel, médecin légiste à Hambourg, a, malgré l'interdiction du RKI, examiné de quoi sont réellement mortes les personnes testées positives pour le SRAS-CoV-2, d'autres pathologistes en Allemagne, en Suisse ou en Autriche ont osé regarder de plus près. En attendant, les résultats de ces autopsies peuvent être résumés de telle manière que presque toutes les personnes qui ont été autopsiées en raison d'une infection avérée par Covid-19 avaient au moins une, mais surtout plusieurs maladies graves. Dans de très rares cas seulement, aucune autre cause possible de décès n'a été trouvée.

Normalement, seul un très faible pourcentage (3,6 %) des patients âgés qui meurent à l'hôpital sont autopsiés. Comme les autopsies ont été pratiquées cette année en raison des tests positifs du SRAS-CoV-2, il était clair ce que l'on cherchait. Et comme la médecine moléculaire moderne ne trouve que ce qu'elle cherche, les 22 cas de Hambourg ont été (pré)publiés à la hâte par des médecins et des internistes spécialisés dans les maladies rénales. Le Covid-19 est "in" et il est actuellement possible de collecter plus de fonds pour la recherche sur ce sujet que sur les soins palliatifs. Dans ce cas, cependant, il n'est possible de faire une déclaration que sur les chercheurs, mais pas sur ce qu'ils recherchent.

Des enquêtes aussi approfondies sur la distribution des virus de la grippe ou même des coronavirus dans l'organisme ont été peu nombreuses en Allemagne. Bien sûr, les coronavirus qui étaient courants cette année se retrouvent maintenant dans divers organes des personnes âgées. On sait depuis longtemps que les coronavirus sont présents dans de nombreux organes chez les personnes dont le système immunitaire est affaibli. Ils ont une clé pour de nombreux tissus du corps et peuvent donc trouver une serrure (récepteur) dans plus de 70 tissus différents qui leur ouvre la paroi cellulaire. Cela est connu depuis le SRAS.

Ce que la plupart de ces rapports ont en commun est que, étonnamment, aucune information n'a été donnée sur les médicaments utilisés avant la mort. Il s'agit là d'une grave lacune, car il a été démontré que le Covid-19, en particulier, entraîne une dangereuse prolifération de l'utilisation de médicaments expérimentaux et que certains des changements observés pourraient bien se produire en tant qu'effets secondaires des drogues.

Le fait (l'état de la science) est donc :

    1. Les infections à Covid-19 surviennent également chez les patients gravement malades et peuvent aussi contribuer à endommager divers organes.
    2. Les statistiques sur les décès ne montrent de "nouveaux dangers" qu'à travers les conséquences du confinement.
    3. Le "nouveau" danger du Covid-19 est induit par des intérêts et n'est que pure spéculation.
    4. Pour les personnes qui ne sont pas gravement affaiblies, le Covid-19 correspond à une maladie grippale normale.
    5. Jusqu'à présent, il n'existe que des médicaments de soutien, mais pas de médicaments spéciaux contre le Covid-19.
    6. Certains médicaments recommandés mettent la vie de certaines personnes en danger.

Contact : samlatouch@protonmail.com

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