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Les agents des Services secrets US : «C’est un cauchemar de travailler avec Hillary Clinton» (New York Post)

par Deroy Murdock 28 Mars 2016, 22:43 USA Hillary Clinton Services secrets Cauchemar

Hillary Clinton dans son état normal Photo AP

Un membre des services secrets en uniforme accueille Hillary Clinton : 

– Bonjour Madame…  

– Va te faire foutre !

Cet échange fait partie de beaucoup d’autres que les agents des services secrets actifs ou retraités ont partagé avec Ronald Kessler, auteur de Détails sur la Première Famille, un regard fascinant sur le personnel intrépide qui protège les présidents des États-Unis, leurs familles – et ceux qui les entourent.


Kessler écrit de façon flatteuse et critique sur les gens des deux côtés. En ce qui concerne les Clinton, Kessler présente Chelsea [fille unique du couple Clinton, NdT] et bénéficiaire de la protection, comme un modèle respecté et apprécié des agents. Il décrit le président Bill comme un chef exigeant, mais un ex-président facile à vivre. Et Kessler présente Hillary comme un monstre de mégère, abusif dans des proportions épiques.

«Quand elle est en public, Hillary sourit et agit gracieusement, explique Kessler, mais dès que les caméras ont disparu, sa personnalité colérique et sa méchanceté impérieuse deviennent évidentes.»

Il ajoute :

«En comparaison de Hillary Clinton, Richard Nixon ressemble au Mahatma Gandhi.»

Kessler était journaliste d’investigation au Wall Street Journal et au Washington Post et a écrit dix-neuf autres livres.

Parmi beaucoup d’autres anecdotes, il rapporte dans son livre Détails sur la Première Famille :

«Hillary était très désagréable avec les agents, et elle ne semble pas aimer les représentants de l’ordre ni l’armée, se souvient l’ancien agent des services secrets Lloyd Bulman. Elle ne voulait pas rencontrer de militaires ni de policiers, comme le font la plupart des personnes protégées. Elle était vraiment rude pour presque tout le monde. Elle agissait comme si elle ne voulait pas de vous à ses côtés, comme si vous étiez un être inférieur.»

«Hillary n’aimait pas les aides militaires vêtus de leurs uniformes autour de la Maison Blanche, se souvient un ancien agent, elle a demandé qu’ils portent plutôt des vêtements civils. L’uniforme est un signe de fierté, et ils sont fiers de porter leur uniforme. Je sais que l’armée était vraiment très offensée.»

L’ancien agent Jeff Grue déclare : «Hillary injuriait les chauffeurs des services secrets qui roulaient sur les bosses.» Un autre ancien membre se souvient de détails : «Hillary ne nous a jamais adressé la parole… La plupart des membres des premières familles nous parlaient en souriant. Elle n’a jamais fait ça.»

Un autre agent des services secrets se remémore : «Nous avons passé des années avec elle. Elle n’a jamais dit merci.»

Au sein de la Maison Blanche, Hillary avait comme «règle absolue que personne ne lui parle quand elle allait d’un endroit à un autre, dit l’ancien agent du FBI Coy Copeland. En fait, toute personne qui la verrait venir devait tout simplement se planquer dans le premier bureau disponible.»

Un ancien agent des services secrets constate : «Si Hillary marchait dans un couloir, vous étiez censés vous cacher derrière les rideaux utilisés comme cloisons.»

Hillary a un jour rencontré un électricien de la Maison Blanche qui était en train de changer une ampoule dans les appartements de la famille à l’étage. Elle l’a engueulé, parce qu’elle avait exigé que toutes les réparations soient effectuées alors que les Clinton étaient sortis du palais présidentiel.

«Elle a attrapé le gars sur l’échelle en train de changer l’ampoule, dit Franette McCulloch, qui servait à cette époque comme assistante pâtissière à la Maison Blanche, il était désespéré.»

L’huissier de la Maison Blanche, Christopher B. Emery, a inconsidérément rappelé Barbara Bush [ancienne première dame des États-Unis, NdT] après qu’elle lui a téléphoné pour un dépannage informatique. Emery a aidé deux fois l’ancienne première dame. En conséquence, selon Kessler, Hillary l’a renvoyé. Ce père de quatre enfants est resté sans emploi pendant un an.

Lors de son mandat au Sénat américain, Hillary s’est arrêtée dans un 4H Club 1 au nord de l’État de New York. Comme un agent des services secrets le raconte, Hillary a vu les agriculteurs et les vaches, puis s’est emportée, et se tournant vers un membre du personnel a hurlé : «Qu’est-ce-qu’on est venus foutre ici ? Il n’y a pas d’argent !»

«Les agents des services secrets considèrent l’affectation à son service comme une forme de punition, conclut Kessler. En fait, les agents disent que le détachement auprès de Hillary Clinton est la pire affectation des services secrets.»

Après avoir étudié les services secrets et leurs relations avec des dizaines de présidents, vice-présidents et leurs familles, la sidération de Ronald Kessler à la vue de l’inhumanité de Hillary Clinton devrait résonner dans la tête de tous les Américains.

Comme il m’a dit : «Personne n’embaucherait une telle personne pour travailler dans un McDonald, et pourtant elle est envisagée à la présidence des États-Unis.»

Deroy Murdock est un contributeur Fox News.

Source: NYPost

Traduit et édité par jj, relu par nadine pour le Saker Francophone

 

 

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Secret Service agents: Hillary is a nightmare to work with
By Deroy Murdock
New York Post



“Good morning, ma’am,” a member of the uniformed Secret Service once greeted Hillary Clinton.

“F— off,” she replied.

That exchange is one among many that active and retired Secret Service agents shared with Ronald Kessler, author of “First Family Detail,” a compelling look at the intrepid personnel who shield America’s presidents and their families — and those whom they guard.

Kessler writes flatteringly and critically about people in both parties. Regarding the Clintons, Kessler presents Chelsea as a model protectee who respected and appreciated her agents. He describes Bill as a difficult chief executive but an easygoing ex-president. And Kessler exposes Hillary as an epically abusive Arctic monster.

“When in public, Hillary smiles and acts graciously,” Kessler explains. “As soon as the cameras are gone, her angry personality, nastiness, and imperiousness become evident.”

He adds: “Hillary Clinton can make Richard Nixon look like Mahatma Gandhi.”

Kessler was an investigative reporter with the Wall Street Journal and Washington Post and has penned 19 other books. Among much more in “First Family Detail,” he reports:

  •  “Hillary was very rude to agents, and she didn’t appear to like law enforcement or the military,” former Secret Service agent Lloyd Bulman recalls. “She wouldn’t go over and meet military people or police officers, as most protectees do. She was just really rude to almost everybody. She’d act like she didn’t want you around, like you were beneath her.”

“Hillary didn’t like the military aides wearing their uniforms around the White House,” one former agent remembers. “She asked if they would wear business suits instead. The uniform’s a sign of pride, and they’re proud to wear their uniform. I know that the military was actually really offended by it.”

  • Former agent Jeff Crane says, “Hillary would cuss at Secret Service drivers for going over bumps.” Another former member of her detail recollects, “Hillary never talked to us . . . Most all members of first families would talk to us and smile. She never did that.”

“We spent years with her,” yet another Secret Service agent notes. “She never said thank you.”

  • Within the White House, Hillary had a “standing rule that no one spoke to her when she was going from one location to another,” says former FBI agent Coy Copeland. “In fact, anyone who would see her coming would just step into the first available office.”

One former Secret Service agent states, “If Hillary was walking down a hall, you were supposed to hide behind drapes used as partitions.”

  • Hillary one day ran into a White House electrician who was changing a light bulb in the upstairs family quarters. She screamed at him, because she had demanded that all repairs be performed while the Clintons were outside the Executive Mansion.

“She caught the guy on a ladder doing the light bulb,” says Franette McCulloch, who served at that time as assistant White House pastry chef. “He was a basket case.”

  • White House usher Christopher B. Emery unwisely called back Barbara Bush after she phoned him for computer troubleshooting. Emery helped the former first lady twice. Consequently, Kessler reports, Hillary sacked him. The father of four stayed jobless for a year.
  • While running for US Senate, Hillary stopped at an upstate New York 4-H Club. As one Secret Service agent says, Hillary saw farmers and cows and then erupted. “She turned to a staffer and said, ‘What the f - - - did we come here for? There’s no money here.’ ”

Secret Service “agents consider being assigned to her detail a form of punishment,” Kessler concludes. “In fact, agents say being on Hillary Clinton’s detail is the worst duty assignment in the Secret Service.”

After studying the Secret Service and its relationships with dozens of presidents, vice presidents and their families, Ronald Kessler’s astonishment at Hillary Clinton’s inhumanity should reverberate in every American’s head.

As he told me: “No one would hire such a person to work at a McDonald’s, and yet she is being considered for president of the United States.”

Deroy Murdock is a Fox News contributor.

Hillary Clinton also likes to show off her supposed sense of humor in public, but is she really funny? These clips speak for themselves.

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