Les vaccins contre la Covid sont à l'origine d'une nouvelle forme rapide de la maladie neurologique mortelle de la " vache folle ", la maldie de Creutzfeldt-Jakob, selon feu le Pr. Luc Montagnier (Daily Sceptic)

Les vaccins contre la Covid sont à l'origine d'une nouvelle forme rapide de la maladie neurologique mortelle de la " vache folle ", la maldie de Creutfeld Jakob, selon un éminent virologue.
Article originel : Covid Vaccines Cause a New, Fast-Acting Form of Deadly ‘Mad Cow’ Neurological Condition CJD, Says Leading Virologist
Par Will Jones
Daily Sceptic, 10.06.22

Les vaccins contre la Covid semblent être responsables de l'émergence d'une nouvelle forme à action rapide de la maladie neurodégénérative mortelle de Creutzfeldt-Jakob (MCJ), selon une étude menée par un éminent virologue. Il s'agit de la maladie dont une forme chez les vaches est la maladie de la vache folle et qui est toujours mortelle.

Ces conclusions figurent dans une étude pré-imprimée (qui n'a pas encore fait l'objet d'un examen par les pairs) réalisée par le Dr Luc Montagnier (décédé en février), virologue de renommée mondiale et découvreur du sida, la Dre Claire Moret-Chalmin, neurologue, et le Dr Jean Claude Perez.
 

L'étude, intitulée "Vers l'émergence d'une nouvelle forme de la maladie neurodégénérative de Creutzfeldt-Jakob : 26 cas de MCJ déclarés quelques jours après l'injection d'un vaccin COVID-19", rapporte en détail 26 des 50 cas de MCJ déclarés en France et en Europe qui sont apparus "très peu de temps après l'injection de la première ou de la deuxième dose des vaccins Pfizer ou Moderna". Selon les auteurs, ce phénomène est inattendu car "habituellement, cette maladie met des décennies à se manifester".

"Pourquoi et comment cette même maladie mortelle peut-elle se déclarer si rapidement après ces injections ?", s'interrogent-ils, concluant qu'il est "très probable que nous ayons affaire ici à une nouvelle forme de la maladie de Creutzfeldt-Jakob".

Résumant les 26 cas, ils écrivent :

    Sur les 26 cas analysés, les premiers symptômes de la MCJ sont apparus en moyenne 11,38 jours après l'injection du "vaccin" contre la COVID-19. Sur ces 26 cas, 20 étaient décédés au moment de la rédaction de cet article et six étaient encore en vie. Les 20 décès sont survenus seulement 4,76 mois après l'injection. Parmi eux, huit ont conduit à une mort subite (2,5 mois). Tout ceci confirme le caractère radicalement différent de cette nouvelle forme de MCJ, alors que la forme classique nécessite plusieurs décennies.

La majeure partie de l'article est consacrée à l'examen du mécanisme par lequel les vaccins pourraient provoquer cette affection. Il est lié à la présence de "régions prions" dans le génome du virus (présents dans toutes les variants à ce jour, sauf Omicron), qui sont reproduites dans les vaccins. Les auteurs expliquent que les prions sont des "agrégats protéiques auto-réglables qui perpétuent de manière stable des états biologiques distincts". Ils citent un article de 1997 de Stanley Prusiner, qui a obtenu le prix Nobel pour sa découverte des prions :

    La maladie de Creutzfeldt-Jakob et les maladies apparentées qui touchent les humains et les animaux impliquent la dégénérescence des cellules du cerveau. En 1982, Stanley Prusiner a réussi à isoler un agent infectieux présumé, une protéine qu'il a appelée prion. Il a identifié le gène à l'origine de la protéine prion, mais a déterminé qu'elle était également présente chez des personnes et des animaux sains. Stanley Prusiner a montré que les molécules de prion sont repliées d'une manière différente des protéines normales et que le pliage du prion peut être transféré aux protéines normales. C'est la base de la maladie.
 

Les prions sont des protéines dotées d'une propriété de commutation inhabituelle qui leur permet de "conférer des changements stables dans les états biologiques". Les chercheurs ont montré que la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 contient une "région prion" similaire à celle associée à la maladie de la vache folle, ce qui peut augmenter le risque de mauvais repliement de la protéine. Selon les auteurs, il est donc "extrêmement plausible" que le vaccin déclenche une forme de maladie à prions, qui se manifeste sous la forme inhabituelle et rapide de la MCJ.

L'effet secondaire supposé du vaccin est rare - peut-être un sur un million de doses - mais la maladie est toujours mortelle.

Traduction SLT