La "reconquête" de la ville avant la fin de l'année promise par le Premier ministre irakien Haider al-Abadi semble désormais illusoire.
Plus de trente personnes, dont des travailleurs humanitaires et de nombreux civils, ont péri dans des violences dans et près de Mossoul, la grande ville du nord de l'Irak que l'armée peine à reprendre au groupe jihadiste Etat islamique (EI).
Les organisations de défense des droits de l'Homme s'alarment chaque jour un peu plus du lourd tribut payé par les populations civiles à l'offensive en cours depuis plus de deux mois pour déloger l'organisation sunnite extrémiste de Mossoul, la deuxième ville du pays qu'elle occupe depuis juin 2014.
Quant au sort des habitants qui restent dans Mossoul, les craintes des ONG et organisations internationales ont été plusieurs fois confirmées au cours des dernières heures...
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