Le gouvernement britannique admet (enfin) que les statistiques du Covid sont inexactes (Off Guardian)

Le gouvernement britannique admet (enfin) que les statistiques du Covid sont inexactes
Article originel :  UK gov’t (finally) admits Covid statistics are inaccurate
Par Kit Knightly
Off Guardian

Le ministre de la santé vient apparemment de réaliser quelque chose qui est évident pour beaucoup d'entre nous depuis des mois.

Le ministre britannique de la santé, Matt Hancock, a annoncé une "révision urgente" de la procédure d'enregistrement des décès dus au Covid19.

Il s'avère que le gouvernement britannique a peut-être surdéclaré les décès dus au Covid19.

Qui aurait pu le savoir ?

Cette annonce fait suite à la "nouvelle" selon laquelle la santé publique anglaise (Public Health England : PHE) a enregistré le Covid19 comme la cause de décès de toute personne ayant déjà été testée positive au virus.

La PHE a publié une déclaration dans laquelle elle l'admet :

"Bien que cela puisse paraître simple, il n'existe pas de méthode approuvée par l'OMS pour compter les décès dus au Covid-19. En Angleterre, nous comptons tous ceux qui sont morts ou qui ont eu un test Covd-19 positif à un moment donné afin de garantir que nos données soient aussi complètes que possible.

Nous devons nous rappeler qu'il s'agit d'une nouvelle infection émergente et qu'il y a de plus en plus de preuves de problèmes de santé à long terme pour certaines des personnes touchées. Alors que ces connaissances se développent, le moment est venu de revoir la façon dont les décès sont calculés".

Dre Susan Hopkins, directrice de la santé publique britannique

Cela inclut potentiellement les personnes qui étaient asymptomatiques, les personnes qui ont eu la maladie puis se sont rétablies et les personnes qui n'ont jamais eu la maladie mais qui ont reçu un résultat faussement positif à la suite des tests PCR incroyablement peu fiables.

En bref, comme l'indique le Evening Standard, un initié du gouvernement est cité :

    "Il s'avère que vous auriez pu être testé positif en février, être guéri, puis être renversé par un bus en juillet et être enregistré comme mort du Covid".

Bien sûr, rien de tout cela n'est une nouvelle pour les personnes qui ont été attentives - Off Guardian et beaucoup d'autres ont signalé que cela pourrait se produire pendant des mois.

Essentiellement, lorsque les nouvelles règles d'enregistrement des décès ont été adoptées avec le projet de loi sur le coronavirus en mars dernier, la surdéclaration des décès dus aux covirus est devenue presque inévitable. En effet, la situation aurait presque pu être conçue à cette fin.

Depuis lors, les preuves anecdotiques s'accumulent également.

Cela ne concerne pas uniquement l'Angleterre, des pays du monde entier font de même.

Dans le monde entier, comme nous l'avons signalé, les statistiques du Covid19 sont largement ouvertes à des déclarations erronées ou malhonnêtes, et potentiellement à des absurdités totales.

La question n'est donc pas vraiment de savoir si les statistiques de décès liés au Covid sont massivement inexactes ou non - nous savons qu'elles le sont presque certainement. La question est de savoir pourquoi le gouvernement et les grands médias ont soudainement décidé de l'admettre.

Ou à moitié de l'admettre, en tout cas.

Il n'y a toujours pas de discussion sur le "diagnostic clinique" d'un "probable" Covid19, ou sur les NPR (ordre de Ne Pas Réanimer)  "illégaux" imposés aux personnes âgées ou vulnérables - qui seraient tous potentiellement inclus dans les statistiques inexactes du Covid. Ou des incitations financières potentielles pour les hôpitaux basées sur le diagnostic et le traitement de la maladie.

Maintenant que le gouvernement admet, et que les médias rapportent, que les statistiques sur les décès dus à la maladie de Covid sont inexactes, vont-ils commencer à enquêter sur les raisons pour lesquelles les conditions de cette situation ont apparemment été créées délibérément ?

Je ne vais pas vous tenir en haleine plus longtemps.

D'une certaine manière, cela s'inscrit parfaitement dans la tendance particulière de cette pandémie, où, d'une part, les fonctionnaires du gouvernement ont été parfaitement ouverts et honnêtes sur le danger - soulignant, encore et encore, que la grande majorité des gens ne sont pas en danger - tout en alimentant, d'autre part, une hystérie et une panique publique qui sont totalement en contradiction avec la réalité admise.

Est-ce le début d'un retour en arrière ou d'une reculade ? Ou est-ce simplement une autre phase de mise en lumière mondial de ce que la "pandémie" de coronavirus est devenue ?

Traduction SLT

A lire :
- Le gouvernement britannique confirme que le Covid19 est inoffensif pour la vaste majorité des gens (Vidéo)

Déclaration du Professeur Chris Whitty, responsable du NHS en Grande-Bretagne, faite en conférence de presse le 11.05.20 (Traduction SLT) :

"La grande majorité des gens ne mourront pas de cela et je vais juste répéter ce que j'ai dit depuis le début parce que je pense que cela vaut la peine d'être rappelé :

La plupart des gens, une proportion importante de la population, ne contracteront pas du tout ce virus, à n'importe quel moment de l'épidémie qui va se poursuivre pendant une longue période.

Parmi ceux qui le feront, certains d'entre eux contracteront le virus sans même le savoir, ils auront le virus sans aucun symptôme, un portage asymptomatique, et nous savons que cela arrive.

Parmi ceux qui présentent des symptômes, la grande majorité, probablement 80%, auront une maladie légère ou modérée. Elle peut être suffisamment grave pour qu'ils soient obligés de se coucher pendant quelques jours, mais pas suffisamment grave pour qu'ils soient obligés d'aller chez le médecin.

Une minorité malheureuse devra aller jusqu'à l'hôpital, mais la majorité d'entre eux auront juste besoin d'oxygène et quitteront ensuite l'hôpital.

Une minorité d'entre eux devra se rendre dans un centre de soins intensifs et certains mourront malheureusement.

Mais c'est une minorité, c'est 1% ou peut-être même moins que 1% dans l'ensemble.

Et même dans le groupe à risque le plus élevé, c'est nettement inférieur à 20 %, c'est-à-dire que la grande majorité des gens, même les groupes les plus sensibles, s'ils attrapent ce virus, ne mourront pas.

Et je tenais à le souligner très clairement..."

Lire aussi :
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