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La Big Fake News internationale sur les "cas de Covid" (Vidéos)

par SLT 14 Octobre 2020, 18:48 Tests Coronavirus Cas PCR Fake news Dépistage Articles de Sam La Touch

MAJ le 15.10.20

Les autorités sanitaires, politiques et les médias de masse occidentaux évoquent systématiquement les "cas de Covid" en se basant sur les tests positifs à la PCR.

Evolution du nombre de cas détectés de la Covid-19 sur 7 jours glissants pour 100 000 habitants en Île-de-France, selon les données publiées par Santé publique France ( AFP). Note de SLT : début mai le nombre de tests/semaine était quasi inexistant, en septembre il était de 1 million par semaine

Tout test PCR positif est à leurs yeux un "cas de Covid". Or, c'est résolument faux pour 2 raisons principales.

1. Les tests réalisés selon la méthode PCR (Polymerase Chain Reaction) ne permettent pas de faire de diagnostic selon l'aveu même de son inventeur Kary Mullis, prix nobel de chimie en 1993.

"La PCR est juste un processus qui vous permet de faire beaucoup de choses à partir de quelque chose. Elle ne vous dit pas que vous êtes malade, ou que la chose avec laquelle vous vous êtes retrouvé va vous faire du mal ou quelque chose comme ça".

La technologie repose sur l'amplification d'un matériel génétique à plusieurs reprises pour sa détection. Il s'agit d'une technique d'amplification, mieux connue des biologistes comme outil de recherche utilisé dans les laboratoires, pour essayer de décoder les mécanismes de la maladie. Selon le Dr Yeadon, ancien directeur de recherche chez Pfizer, "c'est une technique très exigeante, sujette à des erreurs invisibles et qu'il est assez difficile d'en tirer des informations fiables, surtout en raison des quantités prodigieuses d'amplification nécessaires pour tenter de capter un brin de code génétique viral. Le test ne peut pas faire la distinction entre un virus vivant et un court brin d'ARN provenant d'un virus qui s'est brisé en morceaux il y a des semaines ou des mois". La BBC rapporte que les tests "pourraient détecter un virus mort" : "le principal test (PCR) utilisé pour dépister les fragments viraux de coronavirus est si sensible qu’il pourrait détecter des fragments de virus morts provenant d’anciennes infections, selon les scientifiques". S'ils sont amplifiés moins de 35 fois environ, peu de personne sera testé positive. S'ils sont amplifiés 60 fois, tout le monde sera testé positif. La faille est assez évidente. Or, en France, dans les laboratoires, les résultats peuvent être amplifiés jusqu'à 40 fois contrairement à l'Allemagne par exemple, ce qui pourrait expliquer la différence du "nombre de cas" (en fait de test PCR positif) entre les deux pays.

Donc, un test positif à la PCR après prélèvement naso-pharyngé signifie simplement que l'on a détecté du fragment d'ARN du virus chez un individu. Cela ne veut pas dire que le virus était présent chez cet individu. A savoir qu'il peut s'agir d'une personne récemment immunisée, d'une personne asymptomatique, peu symptomatique ou malade... Lorsque les médias déclarent qu'il y a eu 27.000 cas en France dans une seule journée ils induisent le public en erreur. Il y a eu en fait 27.000 tests PCR positifs dont beaucoup ne sont pas des cas ou des malades. Le professeur Toussaint, médecin à l'Hôpital et professeur de physiologie à l'Université Paris-Descartes explique très bien ce point dans une interview à Sud Radio.

Selon le Pr. Toussaint, l'effet de voir cette positivité aussi importante pour des millions de tests par semaine est en faveur d'une immunisation croissante de la population. Il y a un taux d'immunisation beaucoup plus élevé que ce qui est rapporté par les autorités. On pourrait arriver à ce que la Suède est parvenue à faire, à savoir une immunisation collective de la population aux alentours d'une immunisation proche des 40% de la population.
- Selon le Pr. Toussaint, cette expansion actuelle du virus montre un taux d'immunisation important ! (Vidéo)

Toutefois, le risque est grand que nous ayons affaire plus à une épidémie de tests qu'à une épidémie de cas.
- La faille statistique qui signifie que la pandémie de coronavirus pourrait ne jamais prendre fin officiellement (The Telegraph)
- Coronavirus : créer l'illusion d'une pandémie grâce aux tests de diagnostic (Nomorefakenews)

2. Ce test est peu spécifique et génère une quantité beaucoup plus importante que prévue de faux positifs. Il y a un paramètre final dans lequel une personne peut être positive et c'est un processus aléatoire. Cela peut avoir des causes multiples, comme le fait que la technique d'amplification n'est pas parfaite et qu'elle amplifie donc les séquences "appâts" placées dans l'échantillon, dans le but de les marier avec l'ARN viral du SRAS-CoV-2 apparenté.
Ainsi le New York Times a rapporté que "jusqu'à 90 % des personnes testées positives ne portaient pratiquement pas de virus" (Vidéo)

Le Dr Mike Yeadon, ancien directeur de la recherche sur les allergies et les maladies respiratoires de Pfizer Global R&D et co-fondateur de Ziarco Pharma Ltd., évoque le nombre important de faux positifs générés par ce test : "En raison du taux élevé de faux positifs et de la faible prévalence (de la Covid), presque chaque test positif, un soi-disant cas, identifié par le pilier 2 depuis le mois de mai de cette année a été un FAUX POSITIF. Pas seulement quelques pourcents. Pas un quart ou même la moitié des positifs sont FAUX, mais environ 90 % d'entre eux. Pour dire les choses simplement, le nombre de personnes dont M. Hancock nous parle sombrement est surestimé par un facteur d'environ dix. Au début de l'été, il était environ 20 fois plus élevé."
- Mensonges, maudits mensonges et statistiques sur la santé - le danger mortel des faux positifs (Lockdown Sceptics)

Le Dr El Baze ajoute dans France Soir que 90% des cas positifs ne sont pas malades ni contagieux. Enfin les tests de détection de la Covid-19 sont peu spécifiques : des chats, des chiens, des lions sont détectés positifs alors qu'il pourrait s'agir d'autres coronavirus anodins.

Parler de "cas Covid" à partir d'un simple test positif à la PCR relève d'une intox pure et simple.

MAJ : pour parler de "cas de Covid-19", il faudrait :
1. que des symptômes aient été relevés par un médecin ou un soignant cliniquement spécialisé dans le domaine
2. que le test à la PCR soit positif
3. avoir éliminé un diagnostic différentiel plus létal tel que la tuberculose (dont la létalité est nettement plus élevée), une pneumopathie bactérienne (au risque létal plus important) mais aussi les diagnostics différentiels de létalité (similaire à la Covid) comme la grippe mais aussi les autres rhumes à Coronavirus ou Adénovirus...

A noter que certains experts évoquent le fait que le virus de la grippe ou des autres rhumes peut donner un diagnostic positif à la PCR. On imagine bien, si la stratégie sanitaire de diagnostic et de dépistage n'a pas changé, comment en hiver la seconde vague pourrait prendre forme et une ampleur considérable.